Voici un blog qui va vous faire partager ma passion dévorante du cinéma, avec mes chroniques, mes hommages et une histoire des Oscars année par année de la nuit des temps à aujourd'hui et plus, si la vie nous le permet. Vive le 7ème art. N'hésitez pas de mettre des commentaires, pour donner votre avis pour alimenter le BLOG.
lundi 14 juillet 2014
CHRONIQUE : On est pas là pour voir le défilé, on est là pour allez au ciné
Je voulais vous parlez du film de la semaine, " Les brésiliens et les 7 et n'1", mais comme il y a trop de déculotté, je me suis révisé.
Petite forme dans ce mois de Juillet, je crois que les films me gonflent en ce moment, surtout s'ils sont intellectuels, mais ce n'est pas pour' cela, que je fais des bons choix sur les comédies populaires.
Donc, ne vous attendez pas une chronique qui ferait figure de feux d'artifices.
A toute épreuve de Antoine Blossier avec Marc Lavoine, Samy Seghir et Thomas Soliveres, voilà un film ou je vais pas trop m'étendre, on dirais le réalisateur des charlots de retour, il faudrait arrêter de donner des bons pour faire des films, dans les Kinder Surprise, car les enfants plus grands pensent être Tati ou Coppola.
Rien à débattre dans ce navet, et si je continue mes nerfs seront mis à toute épreuve et Samy Seghir mon nouveau Vincent Lacoste.
Note : 4.70
Les vacances du petit Nicolas de Laurent Tirard avec Valérie Lemercier, Kad Merad , un peu meilleur que le précédent, mais le film ne me parle pas non plus, plus recentré sur adultes il perd de son charme, mais va plaire à un public en vacances , proche de la mer. Un film proche de l'hôtel de la plage, moins sexe, on n'a pas non plus là les acteurs comiques du siècle au cinéma.
Les enfants sont perdus dans les méandres du scénario et sont restés coincés dans les pages de la BD.
Pour ceux qui aiment, moi bof, et le gamin est aussi expressif qu'une courge.
Note : 8.70
Le suivant "Blue Ruin" de Jérémy Saulnier avec Macon Blair, on l'avait vu à Deauville l'année dernière et ne sort que 9 mois après en France. Le film ne m'avait pas emballé car je le trouvais et nauséabond.
Il raconte l'histoire d'un vagabond solitaire, qui voit sa vie bouleversée lorsqu'il retourne à sa maison d'enfance pour accomplir une vieille vengeance. Se faisant assassin amateur, il est entraîne dans un conflit brutal pour protéger sa famille, qui lui est étrangère.
Note 11.40
Pareil, pour le suivant "ColdWater" de Vincent Grashaw avec P.J Boudousqué (une vraie révélation) et James C.Burns vu il y a 1 an au Festival des Champs Elysées, pas presser les distributeur, on attend le prochain Buster Keaton.
Dommage pour ce film, il passe (ou profite) de la sortie de "Les poings contre les murs" plus proche de la réalité, que ce film malgré ses qualités sans les effets hollywoodiens.
L'histoire est celle de Brad, un adolescent impliqué dans plusieurs petits délits. Ses parents décident de le faire emmener de force dans un camp de redressement pour mineurs très isolé "Coldwater".Les jeunes détenus coupés du monde extérieur, subissent des violences tant physiques que psychologiques et n'ont d'autre choix que de survivre ou de s'échapper.
Note : 13.90
Le suivant "Jimmy's Hall" de Ken Loach avec Barry Ward, Simone Kirby , est le responsable des deux premiers films, que j'ai chroniqué. Car je me suis réellement ennuyé pour ce film présenté à Cannes cette année, ne me donnant aucun plaisir particulier dans la façon de raconter son histoire et de la montrer.
On pourrait se dire qu'est-il arrivé au réalisateur de Land and Freedom et Le vent se lève, ou il nous mettaient des coups de poing à chaque scène.
Ken Loach dit que c'est son dernier film , deux points de vues, ou on pense tant mieux, comme il baisse de film en film, et on espère pas pour qu'il retrouve des griffes et sa verve.
L'histoire peut être celle de : on se trouve en 1932, après un exil de 10 ans aux Etats-Unis, Jimmy Gralton rentre aux pays pour aider sa mère et s'occuper de la ferme familiale. L'Irlande qu'il retrouve, une dizaine d'années après la guerre civile, s'est dotée d'un nouveau gouvernement. Tous les espoirs sont permis, suite aux sollicitations des jeunes du comté qui s'ennuient (comme nous), malgré sa réticence à provoquer ses vieux ennemis comme l'église ou les propriétaires terriens, décide de rouvrir le hall. (Donc une version de Footloose en 1932, mais il dans moins bien que Kevin Bacon).
Certainement bien pour certains, mais moi je me suis ennuyé.
Note : 12.70
Finalement le film, ou je me suis le moins ennuyé cette semaine est "Transcendance" de Wally Psiter avec Johnny Depp, Morgan Freeman, Rebecca Hall et Paul Bettany.
Il est vrai la BA , ne nous incitait pas à allez voir ce film, mais finalement qu'on on retire toutes les scories de la BA, on se retrouve devant un bon film d'Anticipation, avec ses anarchistes et écologistes.
Johnny Depp pas habillé en indien ou en pirates, est quasiment absent de l'écran, sauf en Pixel, car le film même s'il tourne autour de son personnage, il est peu présent, et on se concentre plus sur les anarchistes, qui veulent détruire internet (attendez que je finisse ma chronique).... pour éviter que cet homme qui se prend pour Dieu, prennent le pouvoir sur tut, y compris l'eau à travers le réseau.
Car dans un futur proche, un groupe de scientifiques tente de concevoir le 1er ordinateur doté d'une conscience et capable de réfléchir de manière autonome. Ils doivent faire face aux attaques de terroristes anti-technologiques menés par Nabila et José Bové qui voient dans ce projet une menace pour l'espèce humaine.
C'est un beau thriller d'action et de fiction qui se laissent voir facilement.
Note 14.20
Finalement, cette semaine, comme dirais Nabila (ma philosophie) , j'ai le cul entre 3 chaises. Finalement mon week-end sera un pétard mouillé.
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