Après que les coureurs du Tour de France est quitté Londres, notre ami Ivan Loke se retrouve sur les autoroutes anglais, deux avant avant, Ivan avait un boulot, une mission, une femme et des enfants et une maîtresse, au bout de ces 2 heures, il n'a plus de boulot, de femme, et une maîtresse mal en point, mais un nouveau venu dans sa vie.
Locke de Steven Knight avec le seul Tom Hardy (Bronson, La Taupe) à l'écran, nous narre la salle de Ivan Locke qui préfère rejoindre sa maîtresse à 200 km de là qui va accoucher difficilement, que de rejoindre sa femme qui sait q'il l'a tromper, ses enfants pour regarder un match de Soccer, ou préparer sa mission de chantier qu'il déserte.
Le film se déroule en temps réel (1h20) et ne quitte pas le cockpit de la voiture de Locke, qui devra à l'aide de son téléphone débrouiller les problèmes sur le chantier qu'il veut finir, alors qu'il vient d'être virer, se faire pardonner de sa femme, négocier les buts du match avec ses enfants et rassurer sa maîtresse dont l'accouchement se passe mal.
Comme quoi, il faut pas 50 scénaristes, mais simplement 7 jours de tournage, pour en faire un thriller passionnant sans mort, mais ou en sens l'urgence et la détresse, dans ses coups de téléphone que Locke effectue de sa voiture.
Le réalisateur arrive avec des plans différents, de nous faire croire, que l'on bouge, que l'action est vivante, à travers hublots, rétro, vitre, boutique sans quitter la voiture.
Tom Hardy excellent loin de ses rôles de brutes.
Passionnant, et de bon aloi, pour finir par un cri.
Note : 15.00
American Nightmare 2 : The Purge, de James de Monaco avec Franck Grillo et Zach Gilford, tout est dans le titre du film américain une purge, le premier ne nous avais pas fini, celui-ci nous achève. Le même sujet que les films de Bronson dans les années 70, la vengeance froide et inutile , pendant 12 heures chaque année.
Déciment Monaco que soit par son réalisateur ou son lieu, ne donne pas de bon film cette année.
On va se vider de cette purge totale.
Note : 4.90
Virgil Oldman est un commissaire priseur proche de la retraite, misogyne, ou son quotidien n'est fait que d'oeuvres d'art et Tableaux, il ne pense qu'à cela, à tel point, qu'il a réussit à se faire une collection unique avec l'aide de son ami Billy, pseudo marchand d'art, qui pendant des années l'aide à relativiser les ventes et les acheter à bas prix.
Jusqu'au jour ou il va recevoir un coup de téléphone d'une femme énigmatique, qui veut expertiser un tableau, piqué par la curiosité il va la rencontre dans une maison faites de faux semblants, à travers une porte au début, et puis va lui ouvrir ses portes de chez lui, mal lui en prend.
Comme dans les livres d'Edgar Alan Poe, se méfier des enfants dans un coin, ici pas d'enfant mais une naine qui a tout vu et sait tout, car propriétaire de cette fameuse maison qu'elle a louée quelque mois avant à une société de cinéma.
Virgil va tout perdre comme ses illusions. machaviélique et brillant , un des meilleurs scénarios que l'on ai sur le thème.
Tous les arts dans un seul film.
Geoffrey Rush stratosphérique, on peine pour lui.
Note : 17.20
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