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mardi 4 février 2014

CHRONIQUE : CHACUN SES DEGOUTS ET SES DOULEURS

Qu'est-ce qui est le plus difficile de voir au cinéma, la douleur dans les corps des personnages et des acteurs dans Dallas Buyers Club, ou la souffrance que l'on a à la vision du plus bête film depuis des décennies "Jackie au Royaume des filles".

Si pour le premier j'ai beaucoup de compassion et de douleurs, pour le deuxième j'ai aucune passion, mais beaucoup de douleurs.

Débarrassons nous tout de suite de "Jackie au Royaume des filles" de Riad Satouf, auteur du déjà pas drôle pour moi "Les beaux gosses". Ce n'est pas un grand avantage pour les acteurs, mais citons les pour qu'il ne recommence pas, Vincent Lacoste, Anémone, Charlotte Gainsbourg, Noémie Lovsky et Valérie Bonneton.

A l'heure que certains veulent nous faire que la théorie du genre existe, Riad Satouf, lui à réussi la théorie du genre cinématographique inexistant.

Le pitch, si on peut appeler cela comme çà, débute dans un pays imaginaire "Bouboune" (eux nous casse les buburnes"), ou les hommes remplacent les femmes dans la société, habillé en Voilerie sortent de Burqua, et aux ordres des femmes militarisées au maximum.

Si Satouf voulait faire une film sur la condition des femmes, il aurait du regarder "Wajda" qui explique le sujet tout en douceur.

Les acteurs sous jouent , et méritent des baffes en retour, tellement ils sont mauvais, aucun n'échappe à la règle avec le ponpon pour Lacoste, Bourdon et Bonneton.

Eviter de dépenser un seul centime, pour ce film, pour éviter qu'il recommence.

C'est que mon avis et je le garde.

Note : 2.40

                                                                                                                                                                                                                                                                    Ryan Initative de
Kenneth Brannagh, avec Chris Pine (fils de Robert Pine de la série "Chips"), Kevin Costner , Kiera Kneightley et Kenneth Brannagh, est la 5ème adaptation des aventures de l'espion de la CIA "Jack Ryan".

Préquel, Séquel, on sait plus vraiment, car l'histoire débute le 11 septembre 2001, ou Jack Ryan étudiant assiste en direct à la télévision aux attentats, il se dirigera alors vers une carrière militaire, ou il aura un grave accident en Afghanistan, c'est là que la CIA va se pencher sur ses talents d'étudiants pour lui proposer une mission au sein de Wall Sreet, et combattre les ennemis préférés des ricains "les Russes".

Après Alec Baldwin, Harrisson Ford et Ben Affleck, Chris Pine reprend le rôle de l'espion, tant pis pour la chronologie des films.

Cela se laisse voir, c'est pas du niveau de Jason Bourne, ou Mission impossible, mais c'est efficace dans le genre, et on a plaisir de revoir Kevin Costner en bonne forme et dans un bon rôle.

Par contre étonnant de voir à la réalisation Kenneth Brannagh, acteur et metteur en scène shakespirien, les impôts anglais doivent être élevés.

Les prochains rôle de Chris Pine, seront Dock Tracy et Dick Rivers.

Note : 12.70



Un coup de coeur, un coupe de foudre, un coup d'amour, un coût de pas assez, voilà ma première impression de Joshua Tree 1951 : A portrait of James Dean de Matthew Mishori avec James Preston, Dan Glenn et Dallah Rains.

Dans la vie on est Fan (Di Caprio, Ezra Miller ...), mais on dessus de tout cela, j'ai une idole depuis ma plus profonde jeunesse "James Dean" que je vénère par dessus tout.

Malheureusement ce film ne sortira pas en salles, mais vous pourrez le voir en DVD dans votre vidéo-club ou en VOD le 18 février 2014.

Depuis toujours, j'attendais un film qui raconte le James Dean, tel que je l'imaginais avec ses lourds secrets et son indispensable talent.

L'histoire du film raconte qu'une période de James Dean , 1951 ou le jeune acteur cachetonne dans de mauvaise Pub, ou dans des télés-films au fond de l'écran à gauche ou à droite.

On peut s'apercevoir dans ce film, toutes les fissures de l'icône, sensible, romantique, brute ou superficiel, sur de son talent, et prêt a tout.

Prêt a tout oui, mais étant sur de son talent artistique, il refuse les desiderata de tout ce que compte Hollywood d'Homosexuels, pour obtenir des rôles, c'est son côté rebel, qu'il montrera dans ces 3 films.

Car le film défini, une approche de la sexualité de Dean, qui était souvent employée dans les livres, mais jamais au cinéma, Dean pour le réalisateur est un obsédé sexuel pratiquant certaines pratiques déviantes, et couchant avec le tout Hollywood, mais uniquement pour son plaisir, une sorte de Gigolo avant l'heure.

Le film dans un noir et blanc esthétique et crépusculaires, nous entraîne entre cours de théâtre et conquêtes masculines sans faux semblant, avec sans attaché de presse et directeur de Studio prêt à lighté son parcours.

La narration entre passé et futur, l'esthétisme m'on fait prendre un pied incroyable, les photos de Dean que l'on a en général sont en Noir et Blanc, donc le film nous laisse dans notre imaginaire.

Sans compter la Bande-Originale excellente entre Jazz (Dean jouait du Saxo) et du Blues d'excellente qualité.

James Preston ne ressemble pas à James Dean, mais on s'en fout car il a pris les tiques de notre héros, les allures et sa beauté exceptionnelle à l'époque.

Une question reste en demeure, son premier amant en 1951 appelé ici son "co-locataire" allait devenir une vrai vedette d'Hollywood, alors qu'il y croyait plus au départ de James Dean de sa vie.

J'ai comme un manque, j'aurais aimé voir ses cours chez Strasberg, sa rencontre avec Brando, Newman ou Minéo, et le combat de coq entre lui et Rock Hudson sur Géant.

Mais à l'arrivée, je suis totalement amoureux du film, on montrant pas un film oxygéné, et même si c'est l'avis d'un réalisateur, on est plus proche de ce qu'on à lu, de ce qu'on nous a montré jusqu'ici, même si on peut pas dire qu'on a été inondé de film sur l'idole.

Pour ce qui aime Dean , courrez dans votre Vidéo-Club ou achetez le DVD.

Note : 17.20


Il y a des films Majuscules qui devraient s'écrire en Minuscule, et des films Minuscules qui devraient s'écrire en Majuscule (je parle du budget).

Mais pour rendre hommage à "Minuscule" la vallée des fourmis perdues de Thomas Szabo et Hélène Giraud fille de Jean Giraud (Moebius) avec Coccinelle, Fourmis noires et rouges, je vais continuer la chronique en "minuscule".

voilà un joli film plein de charme et de technicité , fait par des français, mais digne de Pixar et c'est un compliment.
l'histoire mélange animation (les animaux) et prises de vues réels de paysage et du monde à leur hauteur des fourmis et des coccinelles.

l'histoire commence par un couple qui pique-nique dans la montagne, la femme allant accouchée le couple laisse derrière elle des détritus dont vont se servir nos protagonistes.

De l'autre côté une coccinelle, qui vient de quitter le cocon familiale par erreur, va tomber sur une boite à sucre, qui pour elle ne représente pas grand-chose, mais pour ses amis fourmis noires c'est un trésor inestimable, convoitée par une banque de racailles de fourmis rouges.

chacun avec ses armes, va défendre ou attaquer ce territoire plein de trésor.

la technicité du film est asse prodigieuse on y croit tout a fait, et on passe un moment magique, avec un brun d'écologie très a propos.

Avoir avec les enfants et en famille.

Note : 16.40


Le film, le plus dure de la semaine est incontestablement "Dallas Buyers Club" de Jean Marc Vallée avec Matthew McConaughey, Jenifer Garner et Jared Leto, qui raconte une époque du début des années SIDA aux Etats-Unis en autres, mais avec les mêmes conséquences partout dans le monde.

Jean Marc Vallée réalisateur canadien du film avait déjà réalisé l'excellent C.R.A.Z.Y avec Marc André Grodin, dont le personnage pourrait l'adolescent qu'était Jared Leto dans le second (faut avoir vu les 2 pour comprendre).

L'histoire est celle de Ron Woodroof , cow-boy de rodéo, raciste et homophobe, mais aussi drogué au plus profond des veines.

La santé déclinante de Woodroof, va l'amener à 35 ans à avoir un malaise et être transporté à l'hôpital ou on lui annonce non seulement qu'il est séropositif, mais à déclenché le Sida, nouvelle maladie dans le début des années 80, qui va faire des dégâts.

Les médecins lui annonce qui n'a plus que 1 mois à vivre, surtout qu'il ne veule pas essayer sur lui, le nouveau traitement AZT qui en essaie, Woodroof refuse ce verdict définitif et va continuer à vivre comme si de rien était.

N'ayant pas de médicament, il va allez au Mexique, ce procurer des médicaments de substitution non admise par le ministère de la santé, au détriment de la vie des patients.

Comme dans la vie il dealait déjà, il va faire de même avec ces médicaments, en les distribuant aux malades des hôpitaux au grand dame des médecins, contre une adhésion à son club "Dallas Buyers Club".

Il va se battre 7 ans contre la maladie, les laboratoires et la police, sans obtenir gain de cause.

C'est un film évidement difficile à regarder car rien ne nous échappe, la maladie de nos deux héros qui les ravagent, le combat avec les médecins qui refuseront de changer de méthode avec l'AZT qui broyait les corps, mais également Woodroof antipathique et assassin qui ne changeait pas son comportement sexuel avec ses partenaires féminines.

Seul le personnage de Rayon (Jared Leto) et de la médecin (Jennifer Garner) amène un peu de douceur dans ce monde de brute.

Les deux acteurs vont plus probablement les 2 Oscars promis, tellement ils sont exceptionnels, prenant peut être à terme des risques de santé (n'est ce pas Tom Hanks), on perdant pour l'un 25 kg.

Un film à voir pour savoir.

Note : 16.90


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