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dimanche 23 février 2014

CHRONIQUE : POMPEI N'EST PAS TROMPER

Voilà une  chronique, qui va me faire tomber en enfance, deux des films ont marqués ma jeunesse et mon adolescence, dont l'un est un des meilleurs souvenirs de cette époque.

Pour le premier "POMPEI" de W.S Anderson (rien avoir avec Wes Anderson) avec Kit Arrington, nouveau chéri musclé et huilé à Hollywood, Carrie Anne-Moss (Matrix), Emily Browning et Kiefer Sutherland, qui n'a plus que 24 heures chrono à vivre dans ce film.

Au film du titre de ma chronique, je pense que j'allais faire dans le graveleux, avec toutes ses coulées de lave.

Et bien non, le titre veut dire qu'avec Pompeï, les producteurs ne nous trompent pas avec une histoire inventée d'aventures et non avec des dieux digne de 300, mais avec la destruction de la cité par les éclats de voix de Vulcain en haut du Vésuve.

Pompeï, comme vous le savez était une petite cité romaine sur la côte-Ouest, dans la baie de Naples, qui même sous commandement de Rome, tenait à son indépendance.son tribun voulant jouer dans la cour des grands en agrandissant port et Colisée.

Mais bien des années plus tôt (17 ans) dans une province de Rome (Londunum) , les habitants vont être massacrés et pendus par Corbus et Bellator, sous les yeux d'un enfant Milo, qui va devenir esclave et Gladiateur pour retrouver sa liberté et épouser la fille de son maître.

Ces 17 ans plus tard, nous sommes en 49 ap JC, et Milo effectue son métier de Gladiateur à Pompéï, pendant qu'au dessus d'eux le Vésuve veille.

Pendant la moitié du film, on verra des combats de Gladiateur dans la ligné du film de Ridley Scott ou de Qvo Vadis, mais le plus c'est la colère du Vésuve, qui va faire couler des laves de sang, de fureur et de bruit, anéantissant tout sur son passage, personne ne survivra, par ses coulées de lave.

Les feux de l'enfer sont très efficace, et font passer un bon moment de film d'action, qui finalement n'est pas si mal en ce moment.

Pour l'anecdote, quand j'avais 13 ans, mon patronage de scout (non pas scout, mais coeur vaillant, ce qui est mieux), nous avons fait un voyage en Italie (Vallée d'Aoste, Rom et Naples) en car et en couchant à même le sol (cela forge le caractère), et dans cette dernière étape, on a eu l'occasion de visiter Herculanum (la aussi c'est pas trompé) , PompéÏ n'étant pas visititable, qui avait à peu près les mêmes caractéristiques mais en plus petit que Pompéï, on a vu la conservation étonnante de la ville.

En plus, cerise sur la gâteau, on a grimpé le Vésuve jusqu'en haut sur un terrain aride et poussiéreux, mais quel pied (j'avai ramené une grosse pierre, qui ne faisait que quelque gramme, peut être à l'intérieur un vestige, ou la tête de Milo. Un de mes plus grands souvenirs d'enfance.

Note : 13.60

Le film suivant "Le crocodile du Bostwanga" de Fabrice Eboué et Lionel Sketete, après Case Départ, on attendait au tournant Eboué/Ndjijol, et bien on peut dire, même si le fond est le même, que leur comédie est réussi, car la forme supplée le fond.

A la différence de comédie copie/coller, le crocodile n'est pas caïman pareil par rapport au précédent.

Didier (Eboué) agent de joueur amène Leslie Konda un jeune footballeur dans son pays d'origine le Bostwanga, ou règne le dictateur Bobbo Babimbi, qui comme en Ukraine à mis le pays sous sa coupe, vivant dans une hutte apparence, mais avec un confort inestimable, ou loge ses 7 fils qu'il a eu de 10 femmes différentes, et un cheptel de crocodile dont un s'appelle Jean Marie et L'autre Marine (sic), dont la principale nourriture sont l'opposant.

Et comme toute dictature (comme dans Pompeï) et des héros de la place de l'indépendance à Kiev, le peuple va reprendre le pouvoir, et faire croupir la dictature dans les geôles.

Des gags très drôle, comme le cabinet du ministre, devient Ministre des Cabinets, la société Totelf qui dirige le pays par ses pots de vins, les vestiaires de l'équipe de France de Football à la fin.

Il y a quelque longueur et répétition, mais cela à au moins le mérite d'être drôle, la majorité du temps, avec leurs blagues racistes de leur acabit.

Note : 13.80


La grosse surprise de la semaine provient de "La grande aventure de LEGO" de Chris Miller et Phil Lord (les réalisateurs de 21th Jump Street, avec Batman, Miss Kity, Gandalf, Green Lantern, Superman, Robin des Bois, etc .... et Will Ferrel.

Véritable carton aux States, Lego est le film surprise de ce début d'année, un tsunami, un torrent de lave dans la production animée, qui vont secouer les studios Pixar, et digne de Toy Story.

Car, qui aurait pu penser qu'à partir de "module" que beaucoup de petit garçon ont joué (dont votre serviteur), on allait faire un film aussi inventif, bouillonnant, subversif et dénonciateur de la société de consommation, dont Lego fait partie.

Ce jeu crée en 1949, fait toujours les beaux jours de la société et ai le 2ème jeu le plus vendu au monde.

Le film tient entre Transformers et Toy Story, mais uniquement avec des Lego, donnant une sacré publicité à la petite boîte.

Emmet est un jeune ouvrier de bâtiment, qui construit et détruit des constructions toute la journée, mais leur monde est dominé par un redoutable tyran sans pouvoir, avec une armée à son despotisme, Emmet va découvrir le complot et à l'aide des habitants de milieu Zélande (comics surtout et héros américains) tenter de renverser ce tyran (c'est à la mode).

En plus de ses prouesses techniques, cela n'arrête pas pendant 1h30, il y a un côté subversif jouissif et surtout parodique, Batman ne sachant pas qui est Bruce Wayne, Green Lantern visant le boulbe de Superman, Miss Kity bête comme ses pieds, Gandalf loin de la terre du milieu etc....

Et puis surprise du scénario et d'une logique extrême, le monde des jouets n'est que le reflet des rêves des enfants et des adultes (quel belle idée).

Note : 16.20





















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