Cette rubrique sera consacrée à toutes ses découvertes que je vais faire de ESPN à HBO ou Arte et Canal + etc ....
Ce sont pas des événements qui passent sur les grandes chaînes, mais cela enlève pas le plaisir que l'on peut prendre.
Pour commencer coup sur coup, j'ai pu voir deux docu/fiction sur la boxe, par la petit bout de la lorgnette, et qui nous éclaire sur un autre visage tuméfiée de ce sport.
le premier documentaire : Muhammad Ali's Greatest Fight de Stephen Frears, raconte le procès que l'état intenta au Boxeur Cassius Clay, devenu "Mohammed Ali" après son titre de champion du monde, déclarant être musulman et refusant par la même de faire son service militaire.
Le documentaire suit, les avocats des deux parties essayant de trouver un compromis dans une Amérique très blanche, pour sauver la carrière pour l'un et l'image des Etats-Unis pour l'autre.
On y retrouve au casting : Christopher Plummer, Franck Langella et Danny Glover.
On voit jamais Ali, mais c'est passionnant et instructif.
Le deuxième documentaire , est également un film sur le milieu de la boxe, mais cette fois sur un sans grade, ou son clone au cinéma "Rocky Balboa" est resté plus célèbre que lui, même dans le milieu de la boxe.
Ce film "The real Rocky" de Jeff Feuerzeig, est l'histoire d'Huck Wepner, petit boxeur de catégorie, célèbre poura voir tenu 15 rounds face à Mohammed Ali, qui a inspiré à Sylvester Stallone le personnage de Rocky Balboa. A travers des images et des témoignages, de nombreuses personnalités rendent hommage à celui que l'on surnommait "le seigneur de Bayonne", pendant que Stallone engrangeait des millions de dollars grâce au suite qu'il donna à son film, qui reçu l'Oscar du meilleur film.
Huck Wepner vécu avec cette image du film, et engrangea de gauche à droite quelques dollars.
Documentaire une nouvelle fois passionnant sur une image que l'on connaissait peu ou pas.
Notre troisième Docu/Fiction de la semaine, est l'événement de ce mois de novembre, 50 ans après l'assassinat de JFK à Dallas, il s'agit de "La malédiction d'Edgar" de Marc Duguain qui avait écrit également le roman, dont est tiré cette fiction.
On retrouve au générique de cette fiction Brian Cox et Anthony Higgins.
Comme dans le roman, le narrateur est Clyde Tolson numéro 2 du FBI est peut être amant de J.Edgar Hoover, homme le plus puissant des Etats-Unis depuis de nombreuses à la tête du FBI, jusqu'à l'arrivée au pouvoir des frères Kennedy, dont le principal adversaire était Bob, qui avait comme créneau de combattre le milieu de la mafia.
Le réalisateur précise dès le départ, que peut être son histoire est un faux .... peut être, car la vérité peut être aussi nuisible que l'intention de falsifier les faits.
Car la malédiction dont parle la fiction est l'homosexualité d'Hoover, lui qui l'a combattu autant que le communisme, ce qu'il appelait de la perversité. On est jamais si bien servi que par soi même.
A travers le prisme de Tolson, on dépeint la manipulation des Kennedy envers le peuple !!! la baie des cochons et la haine des politiques et anti-castristes qui ont suivi, l'assassinat ou le suicide de Maryline Monroe, tout cela évidemment dans la mémoire de Tolson, très proche tous les soirs des confidences de Hoover sur l'oreiller.
Sur l'assassinat de Kennedy, ici pas d'ambiguïté , l'auteur le décrit sans faille comme une conspiration, avec des révélations (écoutes et images inédites) surprenantes.
Cela ce finit, sur le Watergate, par la démission de Nixon, pris la main dans le sac, spécialité de Hoover pendant des années.
Si vous voulez un grand moment d'histoire, mélange de fiction et d'images d'archives rares, ce docu/fiction est passionnant, instructif et démontre la puissance malsaine des organes de renseignements américains, et c'est vraiment d'actualité.
Comme dans le roman, le narrateur est Clyde Tolson numéro 2 du FBI est peut être amant de J.Edgar Hoover, homme le plus puissant des Etats-Unis depuis de nombreuses à la tête du FBI, jusqu'à l'arrivée au pouvoir des frères Kennedy, dont le principal adversaire était Bob, qui avait comme créneau de combattre le milieu de la mafia.
Le réalisateur précise dès le départ, que peut être son histoire est un faux .... peut être, car la vérité peut être aussi nuisible que l'intention de falsifier les faits.
Car la malédiction dont parle la fiction est l'homosexualité d'Hoover, lui qui l'a combattu autant que le communisme, ce qu'il appelait de la perversité. On est jamais si bien servi que par soi même.
A travers le prisme de Tolson, on dépeint la manipulation des Kennedy envers le peuple !!! la baie des cochons et la haine des politiques et anti-castristes qui ont suivi, l'assassinat ou le suicide de Maryline Monroe, tout cela évidemment dans la mémoire de Tolson, très proche tous les soirs des confidences de Hoover sur l'oreiller.
Sur l'assassinat de Kennedy, ici pas d'ambiguïté , l'auteur le décrit sans faille comme une conspiration, avec des révélations (écoutes et images inédites) surprenantes.
Cela ce finit, sur le Watergate, par la démission de Nixon, pris la main dans le sac, spécialité de Hoover pendant des années.
Si vous voulez un grand moment d'histoire, mélange de fiction et d'images d'archives rares, ce docu/fiction est passionnant, instructif et démontre la puissance malsaine des organes de renseignements américains, et c'est vraiment d'actualité.
La Malédiction d'Edgar : Sur PLANETE +
The Real Rocky : sur CANAL +
Muhammad Ali's Greatest Fight : sur ESPN
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