Vu le film La Trahison se paie Cash (Framed) de Phil Karlson (1974) avec Joe Don Baker, Connie Van Dyke, John Marley, Brock Peters, Gabriel Dell, Paul Mantee, John Larch, Hard Boiled Gaggerty, Les Lannom, Walter Brooke et Lawrence Montaigne
Ron Lewis, propriétaire d'un night-club, revient de Las Vegas avec son pécule. Une voiture en travers de la route l'empêche de continuer son chemin. Lorsqu'il descend de sa voiture, quelqu'un tire sur lui. Il repart tout tremblant mais à peine est-il arrivé chez lui, qu'un policier l'interpelle et veut l'arrêter. Ron se défend et dans la bagarre, le policier est tué. Ron, lui-même gravement blessé, est accusé de meurtre. Sur son lit d'hôpital, lorsqu'il veut prouver à son amie et son avocat son innocence, ceux-ci ne le croient pas. Persuadé d'être l'objet d'une machination, Ron est bien décidé à trouver le véritable coupable...
C'est le dernier film
du prolifique réalisateur après Justice Sauvage déjà avec Joe Don Baker, la série
des Matt Helm c'est à lui qu'on lui doit, son cinéma à toujours été fait de
coup de poing et de d'actions à cent à l'heure, même si les scénarios ne sont
pas à la hauteur des scènes d'actions.
Mais c'était le type de film qu’on voyait dans les années 70
entre des films de Karaté et des Hill/Spencer cela détendait et on ne se
plaignait pas, j'avais vu Justice sauvage mais pas celui-là.
Même s’il n’est pas à la hauteur de Justice Sauvage qui
était d'une violence organique incroyable, Framed ne démérite pas si on le
prend uniquement pour un film d'action et qu’on ne se penche pas trop sur les
invraisemblances du scénario.
Joe Don Baker est parfait dans son rôle, comme certains second
rôle avec les gueules de l'emploi comme on dit.
Un bon polar pas trop long avec ce qui faut de castagne.
NOTE : 12.90
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