La fête d'Halloween a lieu tous les ans le 31 Octobre 2016, fête traditionnelle Anglos-Celtes très populaires aux Etats-Unis et qui c'est un peu répandu à peu dans le monde mais plus par un souci de merchandising.
Elle se situe, la veille de la Fête de la Toussaint (le 1er Novembre) qui n'est pas la fête des morts, qui est elle le 02 Novembre. Halloween est un contraction de "All Hallows-Even" qui voulait dire "La veillées de la Toussaint.
C'est une fête d'origine Celtes, qui vient d'une légende Irlandaise autour de la Jack la Lanterne.
C'est l'arrivée de migrants irlandais dans les années 1845-1851 sur le sol des Etats-Unis qui a immortalisé l'imaginaires des petits américains avec l'apparition de la citrouille comme emblème.
C'est aussi l'occasion pour les enfants de faire la chasse aux bonbons, scènes qu'on voient très souvent dans les films américains, qu'ils soient familiaux ou d'horreurs.
Dans notre imaginaire, beaucoup de films restent symboliques, mais il y a des films dont Halloween est un lien important dans l'histoire, comme E.T de Steven Spielberg par exemple , car comment faire passez E.T comme quelqu'un de normal en dehors de cette fête.
Cette nuit est surtout marqué de l'entré en liste Michael Myers dans le célèbre film de John Carpenter : La Nuit des Masques qui est le symbole d'Halloween au cinéma, même si les très nombreuses suites n'ont pas tous la même qualité.
Trick or Treat de Charles Martn Smith, Night of Démons de Kevin Tenney, Space Invaders de Patrick Read Johnson, Simetierre 2 Mary Lambert, Hocus Pocus de Kenny Ortega remake d'un film asiatique, L'étrange Noél de Mr Jack de Tim Burton, qui parle de cette légende, Casper de Brad Silberling, Donnie Darko de Richard Kelly , bien sur la Saga Harry Potter, La maison des 1000 morts de Rob Zombie, Hellboy de Guillermo Del Toro,
Donc la plupart de ces films avec une connotation fantastique ou de films d'horreur.
Mais des films se passent aussi e jour de la fête d'Halloween, sans que celui-ci en soit le centre d'intérêt comme :
Un monde parfait de Clint Eastwood, The Crow d'Alex Proyas, Batman Forever de Joel Scumacher, Hellboy de Guillermo Del Toro, et même Mohame Dubois de Ernesto Ona.
Maintenant Halloween, c'est surtout aujourd'hui de regarder entre amis des films ou séries d'horreur ou violent (qui fait peur) comme Scream, Shinning, Carrie, La nuit des morts vivants, et même Alien, et les éternels Dracule et Frankenstein. La série Walkind Dead qui en est à sa saison 7 est le parfait point commun à toutes ses légendes et ses peurs.
Voici un blog qui va vous faire partager ma passion dévorante du cinéma, avec mes chroniques, mes hommages et une histoire des Oscars année par année de la nuit des temps à aujourd'hui et plus, si la vie nous le permet. Vive le 7ème art. N'hésitez pas de mettre des commentaires, pour donner votre avis pour alimenter le BLOG.
lundi 31 octobre 2016
OLIVIER MARCHAL avec GERARD DEPARDIEU ET BENOIT MAGIMEL POUR SON FILM "CARBONE"
Olivier Marchal est de retour pour un nouveau polar ! Intitulé Carbone, son prochain film est actuellement en tournage pour EuropaCorp, avec Benoît Magimel, Laura Smet, Idir Chender, Michaël Youn, Dani et Gérard Depardieu entre autres.
L'histoire : menacé de perdre son entreprise et lâché par les siens, Antoine Roca met au point une arnaque qui deviendra le casse du siècle. Rattrapé par le grand banditisme, il fera face aux trahisons, meurtres et règlements de comptes.
Le duo Depardieu-Magimel se reforme donc après la première saison de Marseille que les deux comédiens ont tourné pour Netflix. Et Depardieu retrouve Marchal après 36 Quai des Orfèvres (2004) et Diamant 13 (2009).
Carbone sortira le 1er novembre 2017.
DECES DU CAMERAMAN DE LA SERIE FRIENDS : VERNON KIFER
Caméraman vétéran de la chaîne NBC, Vernon Kifer est décédé le 16 octobre à l'âge de 63 ans. Il avait filmé 187 épisodes des 236 que compte la série Friends.
La famille Friends est en deuil suite au décès de Vernon Kifer, retrouvé mort chez lui en Californie le 16 octobre dernier. Le Hollywood Reporter rapporte l'information communiquée par le coroner de Los Angeles. Vétéran de la chaîne NBC, Kifer fut le caméraman de nombreuses séries de la chaîne.
La famille Friends est en deuil suite au décès de Vernon Kifer, retrouvé mort chez lui en Californie le 16 octobre dernier. Le Hollywood Reporter rapporte l'information communiquée par le coroner de Los Angeles. Vétéran de la chaîne NBC, Kifer fut le caméraman de nombreuses séries de la chaîne.
Kifer filma 187 épisodes de Friends soit la quasi-totalité du show, mais aussi la totalité des 46 épisodes de Joey, spin-off à la série consacré au personnage interprété par Matt LeBlanc.
Pour NBC, Kifer tourna également la majorité des épisodes des Dessous de Veronica ou de Three Sisters, mais aussi pour ABC Rodney et Young & Hungry, Nick True Jackson et CBS Mike & Molly.
Récemment, Kifer venait de signer le pilote de Sebastian Says pour NBC, et un épisode du Monde de Riley pour Disney Channel, diffusé en février prochain.
ARNOLD SCHWARZENEGGER VA INVESTIR DANS LA PRODUCTION EN CHINE
Le paysage cinématographique mondial est en plein bouleversement silencieux actuellement et s'ouvre enfin sur de nouveaux territoires. Et pour beaucoup, la Chine est le nouvel Eldorado.
Avec une population aussi importante et un pays qui entre de plein-pied dans l'ultra-libéralisme, la Chine devient l'un des acteurs majoritaires du cinéma mondial actuel et entraine donc son lot de bouleversements avec elle. Il n'y a qu'à voir les deux derniersTransformers (dont celui actuellement en production), pour comprendre que plus rien ne se fait sans eux.
Résultat d'un public qui se rue en masse dans les salles de cinéma, la Chine a aussi sauvé certains films de la dérive comme Terminator : Genisys par exemple. Et, Arnold, en fin stratège, y voit là l'occasion de se faire un max de blé tout en s'offrant à un nouveau public. C'est ainsi que le Daily Mail l'annonce à l'affiche de The Guest of Sanxingdui, un film dont il ne sera pas uniquement la star mais aussi le producteur et dont le budget est estimé à pas moins de 200 millions de dollars.
DEBUT DES 27ème JOURNEES CINEMATOGRAPHIQUES DE CARTHAGE (Tunisie)
Les 27e Journées cinématographiques de Carthage (JCC) se sont ouvertes vendredi soir, pour leur cinquantième anniversaire, dans une ambiance festive, toutefois placées sous haute surveillance, avec un dispositif de sécurité très visible aux abords du Palais des Congrès où se déroule le festival jusqu'au 5 novembre.
Vendredi soir, des acteurs vedettes comme la Tunisienne Dorra Zarrouk et l'Egyptien Gamil Rateb ont défilé sur le tapis rouge du Palais des congrès à Tunis.
C'est le film "Fleur d'Alep" du Tunisien Ridha Behi qui a été projeté à l'ouverture. Il relate le calvaire de Salma, une mère qui se rend en Syrie à la recherche de son fils unique Mourad, 17 ans, parti rejoindre des jihadistes. Le sujet résonne douloureusement en Tunisie, où de nombreux jeunes gens attirés par l'idéologie extrémiste ont quitté leur pays pour aller combattre dans les rangs d'organisations jihadistes, comme le groupe Etat islamique (EI), en Irak, en Syrie ou en Libye.
es tunisiens convertis au jihad ont aussi visé leur propre pays. L'an dernier, pendant les JCC, un kamikaze tunisien s'était fait exploser dans un bus de la garde présidentielle en plein cœur de Tunis, tuant 12 de ses agents à quelques centaines de mètres des principaux sites du festival.
"La culture joue un grand rôle dans la lutte contre l'intégrisme et le terrorisme" et "va être la priorité de nos priorités", a affirmé le chef du gouvernement Youssef Chahed, présent à la cérémonie d'ouverture.
La compétition officielle compte 68 films, dont 18 longs-métrages. Cette année encore, des projections seront programmées dans des prisons.
Ce cinquantième anniversaire est aussi l'occasion, selon le directeur des JCC Brahim Letaief, "d'avoir un temps de réflexion". Les JCC "ont besoin d'un nouveau format, d'une nouvelle structure et d'une autre vision afin d'afficher de nouvelles ambitions", a-t-il dit, rappelant que "l'emprise de l'Etat sur cette manifestation pendant des décennies avait laissé des traces".
La Tunisie a été le théâtre en 2011 d'une révolution qui a emporté une dictature de 23 ans, suite à laquelle la liberté de parole a explosé.
Le festival a aussi besoin de stabilité, ne disposant pas "de bureaux permanents ou d'une équipe permanente". "On ne peut pas continuer à préparer un grand festival" avec les conditions actuelles, a prévenu M. Letaief.
"Fleur d'Alep", film d'ouverture
Ce festival réservé aux réalisateurs arabes et africains, un rendez-vous culturel majeur en Tunisie, est très attendu par les cinéphiles. Les salles de cinéma projetant les films en compétition sont généralement prises d'assaut pendant le festival.Vendredi soir, des acteurs vedettes comme la Tunisienne Dorra Zarrouk et l'Egyptien Gamil Rateb ont défilé sur le tapis rouge du Palais des congrès à Tunis.
C'est le film "Fleur d'Alep" du Tunisien Ridha Behi qui a été projeté à l'ouverture. Il relate le calvaire de Salma, une mère qui se rend en Syrie à la recherche de son fils unique Mourad, 17 ans, parti rejoindre des jihadistes. Le sujet résonne douloureusement en Tunisie, où de nombreux jeunes gens attirés par l'idéologie extrémiste ont quitté leur pays pour aller combattre dans les rangs d'organisations jihadistes, comme le groupe Etat islamique (EI), en Irak, en Syrie ou en Libye.
es tunisiens convertis au jihad ont aussi visé leur propre pays. L'an dernier, pendant les JCC, un kamikaze tunisien s'était fait exploser dans un bus de la garde présidentielle en plein cœur de Tunis, tuant 12 de ses agents à quelques centaines de mètres des principaux sites du festival.
"La culture joue un grand rôle dans la lutte contre l'intégrisme et le terrorisme" et "va être la priorité de nos priorités", a affirmé le chef du gouvernement Youssef Chahed, présent à la cérémonie d'ouverture.
La compétition officielle compte 68 films, dont 18 longs-métrages. Cette année encore, des projections seront programmées dans des prisons.
Ce cinquantième anniversaire est aussi l'occasion, selon le directeur des JCC Brahim Letaief, "d'avoir un temps de réflexion". Les JCC "ont besoin d'un nouveau format, d'une nouvelle structure et d'une autre vision afin d'afficher de nouvelles ambitions", a-t-il dit, rappelant que "l'emprise de l'Etat sur cette manifestation pendant des décennies avait laissé des traces".
La Tunisie a été le théâtre en 2011 d'une révolution qui a emporté une dictature de 23 ans, suite à laquelle la liberté de parole a explosé.
Le festival a aussi besoin de stabilité, ne disposant pas "de bureaux permanents ou d'une équipe permanente". "On ne peut pas continuer à préparer un grand festival" avec les conditions actuelles, a prévenu M. Letaief.
DECES A 59 ANS DE KEVIN CURRAN LE SCENARISTE ET PRODUCTEUR DES SIMPSONS
Il fut Producteur exécutif ainsi que scénariste de la série Les Simpson pendant prés de 15 ans, Kevin Curran s’est éteint le 25 Octobre dernier à l’age de 59 ans des suites d’un cancer.
Tandis que la 28eme saison des Simpson a commencé fin septembre, on apprend ce mois-ci la disparition d’une des personnalités qui a contribué au suces de la série. Kevin Currant avait rejoint la famille délirante des Simpson en 2000 en tant que co-producteur exécutif mais aussi en tant que scénariste ou il écrira pas moins d’une douzaine d’épisode pour la série.
Il remporta par ailleurs plusieurs distinctions telle que 3 Emmies Awards et aussi un Humanistas Prize, qui recompense les series et films prouvant la dignité humaine ainsi que la liberté. Ce prix lui est decerné pour le seixieme épisode de la saison 21 des Simpson « La plus grande histoire jamais ratée » qui raconte le pèlerinage de Homer à Jérusalem a cours duquel ce dernier va penser qu’il est le nouveau messie.
Cependant, depuis 2015, Kevin Curran s’était retiré de ses fonctions au sein de la serie car la maladie ne lui permettais plus de continuer son travail. Avant de rejoindre les Simpson, il fut producteur de la série « Marié, 2 enfants » qui déjà mettait en scène de maniéré comique le quotidien d’une famille américaine de classe moyenne.
Twitter a, une fois encore, permis une pluie d’éloges et de condoléances de la part de personnalités diverses ayant cotoyé Kevin Curran. Tous le décrivent comme un être brillant à la fois hilarant et cynique qui a beaucoup apporté à la comédie américaine.
TOM CRUISE VA JOUER LE PERSONNAGE BIBLIQUE : MATHUSALEM (Ouah les effets de maquillage de viellesse)
Tom Cruise va jouer un personnage biblique ! Deadline annonce que l'acteur de Mission: Impossible va incarner Mathusalem dans un film éponyme réalisé par Joachim Rønning. Le Norvégien vient de terminer le tournage de Pirates des Caraïbes 5 pour Disney et s'attaquerait donc au personnage de Mathusalem, dont la particularité est qu'il vécut, selon la Bible, plus de 1000 ans.
Rønning et Warner ont été attirés par le scénario de Zach Dean (Cold Blood). Le script va subir un certain nombre de réécriture puis être envoyé à Cruise, qui confirmera ou non son implication.
Methuselah est produit par David Heyman, responsable de la saga Harry Potter, Animaux fantastiques et de Gravity, entre autres.
QUI SERA LES SCENARISTES DE LA SUITE DES SHERLOCK HOLMES AVEC DOWNEY ET LAW
Alors qu’il entame la production d’Avengers : Infinity War en février prochain,Robert Downey Jr garde un œil sur le troisième volet de Sherlock Holmes. D’après Variety, Warner Bros, Village Roadshow et Team Downey ont engagé une équipe de scénaristes pour mener à bien la pré-production du nouveau chapitre des aventures de Sherlock et Watson, interprétés respectivement par Robert Downey Jr et Jude Law.
Parmi les scénaristes retenus, on peut citer Nicole Perlman, qui a écrit Les Gardiens de la Galaxie ainsi que Gary Whitta à qui l’on doit Rogue One, le spin-off de Star Wars qui sortira à la fin de l’année mais aussi Justin Malen(Baywatch), Geneva Robertson-Dworet (le reboot de Tomb Raider avecAlicia Vikander) ou encore Kieran Fitzgerald (Snowden d’Oliver Stone). A noter que Perlman est attachée à deux autres projets : l’adaptation deCaptain Marvel prévu pour le 6 mars 2019 et Détective Pikachu dont la date de sortie reste inconnue à ce jour. Concernant le poste de réalisateur, Guy Ritchie, auteur des deux premiers volets, est actuellement en négociation pour rempiler sur l’épisode 3.
Il n’est pas rare aujourd’hui de voir des équipes de scénaristes se faire embaucher sur des films dont l’objectif est de créer des univers riches propices aux franchises. Une politique récente de plus en plus tendance chez les grands studios américains. C’est le cas notamment de Paramount avec la sagaTransformers ou 20th Century Fox sur Avatar.
En attendant d’en savoir plus sur le casting et les dates de tournage de Sherlock Holmes 3, rappelons que les deux premiers volets avaient rapporté à eux deux plus d’un milliard de dollars dans le monde.
NOUVEAU TRAILER DE UN JOUR DANS LA VIE DE BILLY LYNN DE ANG LEE
UN JOUR DANS LA VIE DE BILLY LYNN est le prochain film de Ang Lee (Tigre et dragon,Brokeback Mountain, L’odyssée de Pi), avec à son casting Kristen Stewart, Vin Diesel, Garrett Hedlund et pour la première fois à l’écran: Joe Alwyn.
L’histoire: En 2005, Billy Lynn, un jeune Texan de 19 ans, fait partie d’un régiment d’infanterie en Irak victime d’une violente attaque. Ayant survécu à l’altercation, il est érigé en héros, ainsi que plusieurs de ses camarades. Et c’est avec ce statut qu’ils sont rapatriés aux Etats-Unis par l’administration Bush, qui désire les voir parader au pays… avant de retourner au front.
dimanche 30 octobre 2016
MON AVIS SUR : I, DANIEL BLAKE de KEN LOACH (Un film essentiel et indispensable) Palme d'Or 2016
I, DANIEL BLAKE de Ken Loach est un film Dramatique Anglais, qui a reçu la Palme d'Or au Festival de Cannes 2016.
Synopsis : Pour la première fois de sa vie, Daniel Blake, un menuisier anglais de 59 ans, est contraint de faire appel à l’aide sociale à la suite de problèmes cardiaques. Mais bien que son médecin lui ait interdit de travailler, il se voit signifier l'obligation d'une recherche d'emploi sous peine de sanction. Au cours de ses rendez-vous réguliers au « job center », Daniel va croiser la route de Katie, mère célibataire de deux enfants qui a été contrainte d'accepter un logement à 450km de sa ville natale pour ne pas être placée en foyer d’accueil. Pris tous deux dans les filets des aberrations administratives de la Grande-Bretagne d’aujourd’hui, Daniel et Katie vont tenter de s’entraider…
Dans le cinéma de Ken Loach, il ne faut pas attendre de sa part, un film sur la forme, avec des beaux cadrages, une lumière flamboyante, des effets spéciaux à ne plus tenir, non le cinéma de Ken Loach, c'est celui plus intérieur du contenu, et c'est dans ce domaine, on peut considérer encore qu'il est le meilleur.
Certain magazine, on titré de savoir si Ken Loach ne faisait le même film à chaque fois, et qu'il était au bout de son cinéma, et bien si quelqu'un est à la fin de ce qu'il a raconter, ce film restera comme l'un de ses meilleurs et Ken Loach à encore beaucoup de chose à dire, et il dit bien.
Ce film existe grâce surtout au moyen de producteurs français, qui ont permis de terminer celui-ci. Le film a été tourné à Newcastle, plus connu en France, pour son équipe de Football, mais elle est aussi une ville ouvrière, dont la population comme Daniel Blake a du mal à joindre les deux bouts.
Le film de Ken Loach est essentiel dans notre monde aujourd'hui, qui sans moralisation, mais avec des mors forts, nous dit explicitement dans quels mondes on vit, pas très académique, violent dans les situations sociales, un monde ou les gens ferments les yeux sur ce qui se vit autour d'eux, tant que cela ne les concerne pas, un film à voir, pas pour comprendre mais pour avoir un oeil sur ce monde qui se délite sous nos yeux, avec l'accord des politiques quelques soient le pays du monde, pas uniquement en Angleterre ou en France. Un monde ou on peut voler de la bouffe, se prostituer pour survivre.
A travers son film, et même si cela va déranger certains par démagogie, Loach nous montre les difficultés que rencontre les personnes âgées ou handicapées dans cette Angleterre, qui ce veut modèle économique, mais qui démontre que tout est compliquée dès que l'administration ou le mécanisme bureaucratique sans mêle, et comment la société anglaise ou autre d'ailleurs oublies ces concitoyens dès qu'il ne rentre plus dans le moule de la rentabilité, et de laisser de côté tous ces laissez pour compte.
Il dénonce aussi cet anarchie de la modernité sans compté que des tas de personnes dans ces sois-disant, ne peuvent pas avoir accès à Internet, ou a tous ces modules de modernités (smartphone) qu'on nous oblige à avoir, car hélas aujourd'hui le tout numérique gratuit n'existe pas (il devrait l'être) et chômeurs, malades, SDF ou retraités non pas les moyens et les capacités souvent pour avoir accès à ces outils, et les certains abrutis qui sont derrière des bureaux ou des hot-line qui ne veulent rien comprendre, on vit dans un monde de fric et tant pis pour ceux qui en n'on pas
Oui, comme Daniel Blake on a envie d'hurler notre colère , de se révolter afin que l'associatif et le civil mettre les politiques de tout pays au chômage et nous laisse vivre comme on en a envie, et non comme ils le souhaitent.
C'est pour cela que je pense que le film de Ken Loach comme son cinéma d'ailleurs , et qu'on puisse comprendre son message et qu'on se révolté un peu pour qu'on vie un monde meilleur.
A l'arrivée je pense que sa Palme d'Or n'est pas immérité et nous rassure que les cinéastes américains, même s'ils font des films plus spectaculaires, ne sont pas déconnectés du monde réel, et donc été touché par cette histoire.
Dave Johns artiste comique de Stand-Up anglais joue ici son premier rôle au cinéma, et je peut dire, que j'ai trouvé son interprétation magique et très juste, ainsi que tous les seconds rôles ou anonymes qui jouent dans le film.
Le principe du cinéma de Loach, mélange de Documentaire, de Réel et de fiction, enchante toujours nos projections.
NOTE : 16.10
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Ken Loach
Scénario : Paul Laverty
Musique : George Fenton
Production, Rebecca O'Brien, Pascak Caucheteux, Grégoire Sorlat, Vincent Maraval
Montage Son : Kevin Brazier
Son : Ray Beckett
Costumes Joanne Slater
Directeur de Production ; Eimhear McMahon
Casting : Kahleen Crawford
Décors ; Fergus Clegg et Linda Wilson
Montage ; Jonathan Morris
Photographie ; Robbie Ryan
DISTRIBUTION
Synopsis : Pour la première fois de sa vie, Daniel Blake, un menuisier anglais de 59 ans, est contraint de faire appel à l’aide sociale à la suite de problèmes cardiaques. Mais bien que son médecin lui ait interdit de travailler, il se voit signifier l'obligation d'une recherche d'emploi sous peine de sanction. Au cours de ses rendez-vous réguliers au « job center », Daniel va croiser la route de Katie, mère célibataire de deux enfants qui a été contrainte d'accepter un logement à 450km de sa ville natale pour ne pas être placée en foyer d’accueil. Pris tous deux dans les filets des aberrations administratives de la Grande-Bretagne d’aujourd’hui, Daniel et Katie vont tenter de s’entraider…
Dans le cinéma de Ken Loach, il ne faut pas attendre de sa part, un film sur la forme, avec des beaux cadrages, une lumière flamboyante, des effets spéciaux à ne plus tenir, non le cinéma de Ken Loach, c'est celui plus intérieur du contenu, et c'est dans ce domaine, on peut considérer encore qu'il est le meilleur.
Certain magazine, on titré de savoir si Ken Loach ne faisait le même film à chaque fois, et qu'il était au bout de son cinéma, et bien si quelqu'un est à la fin de ce qu'il a raconter, ce film restera comme l'un de ses meilleurs et Ken Loach à encore beaucoup de chose à dire, et il dit bien.
Ce film existe grâce surtout au moyen de producteurs français, qui ont permis de terminer celui-ci. Le film a été tourné à Newcastle, plus connu en France, pour son équipe de Football, mais elle est aussi une ville ouvrière, dont la population comme Daniel Blake a du mal à joindre les deux bouts.
Le film de Ken Loach est essentiel dans notre monde aujourd'hui, qui sans moralisation, mais avec des mors forts, nous dit explicitement dans quels mondes on vit, pas très académique, violent dans les situations sociales, un monde ou les gens ferments les yeux sur ce qui se vit autour d'eux, tant que cela ne les concerne pas, un film à voir, pas pour comprendre mais pour avoir un oeil sur ce monde qui se délite sous nos yeux, avec l'accord des politiques quelques soient le pays du monde, pas uniquement en Angleterre ou en France. Un monde ou on peut voler de la bouffe, se prostituer pour survivre.
A travers son film, et même si cela va déranger certains par démagogie, Loach nous montre les difficultés que rencontre les personnes âgées ou handicapées dans cette Angleterre, qui ce veut modèle économique, mais qui démontre que tout est compliquée dès que l'administration ou le mécanisme bureaucratique sans mêle, et comment la société anglaise ou autre d'ailleurs oublies ces concitoyens dès qu'il ne rentre plus dans le moule de la rentabilité, et de laisser de côté tous ces laissez pour compte.
Il dénonce aussi cet anarchie de la modernité sans compté que des tas de personnes dans ces sois-disant, ne peuvent pas avoir accès à Internet, ou a tous ces modules de modernités (smartphone) qu'on nous oblige à avoir, car hélas aujourd'hui le tout numérique gratuit n'existe pas (il devrait l'être) et chômeurs, malades, SDF ou retraités non pas les moyens et les capacités souvent pour avoir accès à ces outils, et les certains abrutis qui sont derrière des bureaux ou des hot-line qui ne veulent rien comprendre, on vit dans un monde de fric et tant pis pour ceux qui en n'on pas
Oui, comme Daniel Blake on a envie d'hurler notre colère , de se révolter afin que l'associatif et le civil mettre les politiques de tout pays au chômage et nous laisse vivre comme on en a envie, et non comme ils le souhaitent.
C'est pour cela que je pense que le film de Ken Loach comme son cinéma d'ailleurs , et qu'on puisse comprendre son message et qu'on se révolté un peu pour qu'on vie un monde meilleur.
A l'arrivée je pense que sa Palme d'Or n'est pas immérité et nous rassure que les cinéastes américains, même s'ils font des films plus spectaculaires, ne sont pas déconnectés du monde réel, et donc été touché par cette histoire.
Dave Johns artiste comique de Stand-Up anglais joue ici son premier rôle au cinéma, et je peut dire, que j'ai trouvé son interprétation magique et très juste, ainsi que tous les seconds rôles ou anonymes qui jouent dans le film.
Le principe du cinéma de Loach, mélange de Documentaire, de Réel et de fiction, enchante toujours nos projections.
NOTE : 16.10
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Ken Loach
Scénario : Paul Laverty
Musique : George Fenton
Production, Rebecca O'Brien, Pascak Caucheteux, Grégoire Sorlat, Vincent Maraval
Montage Son : Kevin Brazier
Son : Ray Beckett
Costumes Joanne Slater
Directeur de Production ; Eimhear McMahon
Casting : Kahleen Crawford
Décors ; Fergus Clegg et Linda Wilson
Montage ; Jonathan Morris
Photographie ; Robbie Ryan
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