Voici un blog qui va vous faire partager ma passion dévorante du cinéma, avec mes chroniques, mes hommages et une histoire des Oscars année par année de la nuit des temps à aujourd'hui et plus, si la vie nous le permet. Vive le 7ème art. N'hésitez pas de mettre des commentaires, pour donner votre avis pour alimenter le BLOG.
Allez c’est parti, après le carton monumental de Bohemian Rhapsody et son milliard de dollars de recettes, la sortie de Rocketman sur Elton John, va falloir s’y faire, la tendance du moment est clairement centrée sur les biopics musicaux.
Selon Deadline, cette fois, c’est au tour du leader du groupe phare des années 80, Culture Club, d’être le sujet d’un film, ce dernier racontera les racines ouvrières du chanteur à Woolnich en Irlande, son ascension dans les eighties, sa carrière solo, et évidemment ses frasques.
C’est Sacha Gervasi, auteur de Hitchcock en 2012 avec Anthony Hopkins, mais surtout du génial documentaire Anvil : The Story of Anvil, qui sera aux manettes de la réalisation, ce dernier ayant déclaré : « George est un pionnier et un véritable original. Dans les clubs londoniens des années 80, il était impossible de rater George et tout le monde savait qu’il serait une star bien avant que le monde n’ait entendu une note des chansons emblématiques du Culture Club Comme vous pouvez l’imaginer, l’histoire de la vie de George est à la fois divertissante, poignante et inspirante. Je suis honoré et excité d’être celui qui racontera son histoire sur grand écran. »
Theodore Decker n'a que 13 ans quand sa mère est tuée dans une explosion au Metropolitan Museum of Art. Cette tragédie va bouleverser sa vie : passant de la détresse à la culpabilité, il se reconstruit peu à peu et découvre même l'amour... Avec Le Chardonneret, qui se dévoile dans cette bande-annonce pleine de délicatesse, John Crowley adapte à l'écran le roman de Donna Tartt, Prix Pulitzer en 2014. Un choix idéal pour ce réalisateur connu pour son style romanesque (Boy A, Brooklyn) et son parti pris esthétique. Véritable film d'apprentissage qui nous parle de la perte et du chagrin, Le Chardonneret se déroule sur différentes époques, à travers le périple de Theodore vers l'âge adulte. Ansel Elgort, découvert notamment dans Nos étoiles contraires, incarne notre héros brisé.
Depuis le temps, on sait qu’il ne faut pas chercher des noises à John Rambo. Pourtant, il y en a encore qui pense pouvoir lui échapper lorsqu’il est en colère. La preuve avec « Rambo : Last Blood », dont la première bande-annonce explosive vient d’être dévoilée.
Rambo est de retour ! Et comme toujours, il n’est vraiment, mais alors vraiment pas content ! La preuve, avec la première bande-annonce de Rambo : Last Blood qui vient d’être mise en ligne (
On y retrouve donc John Rambo qui affronte à lui tout seul un cartel mexicain. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’ils ont enlevé la fille d’un ami. Cette dernière n’apparaît pas sur ce teaser, mais des bribes de synopsis avaient déjà été annoncées en amont. On sait en effet que Rambo a décidé de se retirer dans un ranch au fin fond de l’Amérique, pour finir ses jours paisiblement avec la nature. Pas de bol, il lui faudra reprendre du service (pour la dernière fois ?) pour sauver la jeune fille kidnappée. Direction la frontière entre les États-Unis et le Mexique pour un bon gros massacre et affronter son passé.
Sur ces images Rambo ne fait donc pas dans la dentelle, plus violent que jamais, et toujours aussi ingénieux pour piéger ses adversaires. Mais surtout, à 72 ans, Sylvester Stallone montre qu’il en a encore à revendre et apparaît tout à fait crédible en vieux vengeur sans pitié. On nous promet donc une débauche de violence, de l’action à go go, que demander de plus ? En plus, sous ses airs de vieux loup solitaire sur la fin, John Rambo rappelle ici un peu le Wolverine de Logan. Espérons que le résultat final sera d’aussi bonne qualité.
Rambo Last Blood sortira dans les salles françaises le 25 septembre prochain.
Aladdin démarre fort avec plus de 560 000 entrées. A titre de comparaison, en 1993, le dessin animé Disney avait réuni 820 000 petits et grands. C'est mieux que le précédent film Disney live en tout cas, sorti en décembre dernier : Mary Poppins avait démarré avec 389 000 entrées et avait terminé sa course avec 1 560 000 entrées au cumul.
En seconde position, John Wick n'a pas à rougir avec son 3e volet, bien au contraire ! C'est même le meilleur démarrage de la saga avec 336 000 entrées. 184 000 entrées pour le 1er volet en 1ère semaine et 200 000 pour le 2e. A vrai dire, Parabellum fait déjà mieux que celui-ci en fin d'exploitation puisqu'il n'avait atteint que les 335 000 entrées au cumul !
L'acteur Carmine Caridi, qui a joué dans deux films de la saga du Parrain est mort mardi 28 mi à l'âge de 85 ans, révèle leHollywood Reporter. Selon l'un de ses proches qui s'est confié à TMZ, l'acteur est mort de complications survenues suite à une chute.
C'est dans la série Naked City que Carmine Caridi, né le 23 janvier 1934, fait ses débuts en 1962. Après quelques rôles, il interprète Carmine Rosato dans Le Parrain, 2ème partie en 1974. Il fera son retour dans le 3ème opus en 1990, interprétant cette fois-ci le personnage d'Albert Volpe.
L'acteur, qui a une longue filmographie, est également apparu dans les séries Kojak, Starsky et Hutch, Fame, 21 Jump Street, Arabesque... il aura un rôle récurrent dans New York Police Blues où il incarnera le détective Vince Gotelli de 1994 à 1999. Il est récemment apparu dans un épisode de la série Netflix Love. Son dernier rôle est celui de l'oncle Murray dans un épisode de la série Larry et son nombril.
En 2004, il est exclu de l'Académie des Oscars. La raison ? Il a partagé des copies de films, qui se sont ensuite retrouvées sur internet, ce qui est illégal. Ces copies devaient servir uniquement à des projections de films sélectionnés aux Oscars. Lors d'une interview en 2017 au Hollywood Reporter, l'acteur s'était confié sur les faits : "Je faisais une faveur à quelqu'un et il m'a bien eu".
LE JEUNE AHMED de Jean Pierre et Luc Dardenne est Film Dramatique Belge présenté en Compétition au Festival de Cannes 2019 et qui a remporté le Prix de la Mise en Scène.
Oui Prix de la Mise en Scène, faudra me dire pourquoi et le
comment, le film n'a aucune nouveauté au niveau mise en scène, les Dardenne
faisant le même film depuis leurs débuts, mal cadré, à l'arrache comme un
reportage de l'émission Striptease cher à la Belgique qui avait 100 fois plus
de qualité. Et donc si ce film obtient le Prix, des films comme le Malick ou le
Tarentino doivent être des catastrophes de Mise en Scène.
Ici les frères s'attaquent à un sujet qui ne connaissent, et
le film comme si on parlait de licenciements en y ajoutant naïveté et
complaisance douteuse.
On y suit un adolescent Ahmed (Idir Ben Addir) de 13 ans mal
dans sa peau, qui rentre en conflit avec à peu près tout le monde, mais cache
qu'il rencontre souvent son Imam (Othmane Moumem) et qui lui inculque la foi musulman
et ses principes, sauf que Ahmed prend bien au-delà les préceptes de sa
religion , il est conflit avec sa mère (Claire Bodson) qui n'accepte pas qu'il
passe plus du temps sur la religion que sur ses cours, et va prendre en grippe
sa prof (Myriem Akheddiou) qui va poignarder non pas sur un accès de colère,
mais pas une préparation minutieuse.
La justice va faire le lien entre cet incident et ses
relations avec sa religion et vont l'enfermer dans un centre de
déradicalisation ou Ahmed ne sent pas du tout à l'aise dans cet environnement
entre vaches poules et séjour à la ferme.
Mais Ahmed n'a qu'une seule idée, de nouveau agresser sa
prof et si possible dans le bureau du juge pour une réconciliation, qui n'aura
pas lieu car Inès la prof craque avant. Ahmed ne lâche pas le morceau et va
s'échapper du centre et tenter de rejoindre le domicile de la prof, pour finir
son forfait.
C'est là le problème de cette histoire, car à aucun moment
on n'explique le pourquoi du comment de cette haine de Ahmed vers la prof, même
si on entend des "mécréantes" à tout va, mais on le suppose
radicalisé, c'est compliqué à comprendre et à suivre , que veut dire les frères
Dardenne, quel est leur position sur le sujet, on le sera pas, si Téchiné
récemment mettait les points sur les I, les Dardenne vont finir cette histoire
d'une manière brute comme si le manque d'argent les avaient obligés à terminer
le tournage, je suis radical sur mon propos, mais on comprend pas pourquoi ils
font de Ahmed une victime expiatoire comme si un Dieu x ou y avait décidé de son
sort
Heureusement le film ne dure que 84 minutes, mais j'essaie
toujours de comprendre les raisons de ce film, quel est le but, heureusement le
jeune Idir Ben Addi s'en sort plutôt bien même comme on est dans un film des
frères Dardenne ce n’est pas le jeu qu'on retiendra, mais il est très présent
pour son premier film.
Donc un film de plus dans la filmographie des frères Dardenne
dont je ne comprends pas la finalité et dont ce n’est pas la mise en scène que
je retiendrais le plus.
Et ils appliquent la règle de Bertolt Brecht : le réalisme
ne consiste pas à dire des choses vraies, mais à dire ce que sont vraiment les
choses.
NOTE : 11.90
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Jean Pierre et Luc Dardenne
Scénariste : Luc et Jean Pierre Dardenne
Production : Jean Pierre et Luc Dardenne, Denis Freyd
Costumes : Maïra Ramedhan-Levi
1er Assistant Réalisateur : Caroline Tambour
Directeur de Production : Olivier Abrassart
Décors : Igor Gabriel
Montage : Tristan Meunier et Marie-Hélène Dozo
Photographie : Benoît Dervaux
Montage Son : Valene Leroy
Mixage : Thomas Guder
Son : Jean Pierre Duret et Julien sicart
Maquillage : Natali Tabareau-Vieuille