Voici un blog qui va vous faire partager ma passion dévorante du cinéma, avec mes chroniques, mes hommages et une histoire des Oscars année par année de la nuit des temps à aujourd'hui et plus, si la vie nous le permet. Vive le 7ème art. N'hésitez pas de mettre des commentaires, pour donner votre avis pour alimenter le BLOG.
Depuis Les Looney Tunes passent à l’action (2003) les petits personnages de Warner Bros se font bien discrets. Une potentielle suite à Space Jam serait dans les tiroirs, mais à part ça rien de bien frais. Mais aujourd’hui, c’est Deadlinequi rapporte une nouvelle réjouissante : les deux producteurs de la série Living Biblically,Jon et Josh Silberman, seront chargés de l’écriture d’un long métrage sur Coyote. Pour l’instant seul le titre a été dévoilé : Coyote VS Acme.
Depuis les années 1940 Coyote tente désespérément d’attraper Bip Bip, en vain. D’après Warner Bros, ce film Coyote VS Acme sera animé de manière traditionnelle en adéquation avec la vision de Chuck Jones, le créateur de la série. Ce titre ne laisse pas transparaître de nombreuses informations. ACME est la société militaire privée qui munit Coyote de toutes ses armes et explosifs. Cette firme était déjà présente dans Les Looney Tunes passent à l’action.
Alors le film racontera-t-il la rencontre entre Coyote et ACME, ou la rébellion de l’animal contre cette société qui se sert de lui ? Réponse dans quelques mois, quand le projet aura germé.
La sélection du Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg a été dévoilée ! Cette onzième édition aura lieu du 14 au 23 septembre.
Le festival s’ouvrira par la projection de La Nonne, spin-off horrifique du second épisode de Conjuring.
La compétition comprendra treize longs métrages, parmi lesquels l’ovni dansant et furieux Climax de Gaspar Noé, la fantaisie portugaise primée à Cannes Diamantino de Gabriel Abrante et Daniel Schmidt, l’horreur introspective de The House That Jack Built signée Lars Von Trier, la fable Human, Space, Time and Human de Kim Ki-Duk, la farce giallesque Piercing de Nicolas Pesce, le thriller surnaturel allemand Luz de Tilman Singer ou encore le très réjouissant ride horrifique de Meurs, monstre, meurs d’Alejandro Fadel.
La compétition Crossovers, dédiée aux films qui jouent avec les limites du genre, proposera dix longs métrages. A noter le drame politiquement incorrect Holiday de Isabella Eklöf (qui figure parmi nos 10 réalisatrices à suivre), la farce horrifique iranienne Pig de Mani Haghighi, le thriller en costumes Killing de Shinya Tsukamoto, la comédie absurde Pityde Babis Makridis ou encore l’élégant mystère taïwanais Xiao Mei de Maren Hwang.
Nouveauté cette année : une compétition animation a été ajoutée au programme. On pourra y découvrir sept longs métrages, dont l’anime Miraï, ma petite sœur de Mamoru Hosoda ou le docu-fiction Chris the Swiss de la Suissesse Anja Kofmel. Du côté des films à l’honneur dans la section Midnight Movies : l’anthologie horrifique The Field Guide to Evil et son beau cast de réalisateurs ou le thriller fantastique rétro Mandy de Panos Cosmatos.
Une rétrospective intitulée Chromosomes XX explorera la féminité dans le cinéma de genre à travers dix films qui vont de La Féline à Répulsion en passant par Les Lèvres rouges et Possession. Une rétrospective John Landis aura lieu en l’honneur du réalisateur qui sera l’invité du festival. Une compétition courts métrages et une nuit excentrique complètent ce menu.
Pontagnac et Vatelin seront de retour sur grand écran dans une nouvelle adaptation de la célèbre des pièces de Feydeau : Le Dindon. Déjà adaptée en 1951 par Claude Barma, c’est au tour du comédien et cinéaste Jalil Lespert (Yves Saint-Laurent, Iris) de livrer sa version cinématographique de cette légende du théâtre de boulevard. Les personnages principaux seront incarnés par Dany Boon et Guillaume Gallienne. Selon Le Film Français, le tournage a débuté en région parisienne ce mercredi 29 août 2018 et devrait s'étendre sur sept semaines. Le réalisateur a confirmé cette information sur son compte Instagram, en publiant une photo du clap qui servira au premier plan de son film.
Dany Boon a encore cartonné au box-office français en 2018 avec La Ch’tite Famille, deuxième plus grand succès de l’année à ce jour après Les Tuche 3, avec plus de 5,6 millions de billets vendus. Guillaume Gallienne, quant à lui, s’est fait plus rare au cinéma depuis deux ans. On ne l’a pas vu sur grand écran en tant que comédien depuis son incarnation du célèbre peintre français dans Cézanne et moi. En 2014, il avait déjà tourné pour Jalil Lespert dans Yves Saint-Laurent, où il se glissait dans la peau de Pierre Berger.
Le Dindon devrait sortir sur les écrans français à la fin de l’année 2019.
En cette toute fin d’été, un blockbuster aux dents longues surnage pourtant : En eaux troubles avec son requin géant et son Jason Statham pour sauver le monde ! Qui aurait pu s’attendre à ce que cette série B volontairement parodique réunisse plus de 700 000 Français dès sa première semaine ? C’est simple : un film uniquement porté par Jason Statham n’avait pas connu un tel succès depuis la saga Le Transporteur il y a dix ans. Ça part très fort aussi pour Spike Lee qui n’a pas l’habitude d’attirer les foules en France. Pourtant, son Grand Prix à Cannes 2018 BlacKkKlansman semble bien parti pour atteindre le million d’entrées, prouesse seulement accomplie avec Inside Man il y a douze ans. Une presse enthousiaste, un beau prix cannois et un synopsis insolite (un policier afro-américain infiltre le Ku Klux Klan dans les années 1970) l’aident probablement piquer la curiosité des spectateurs. Troisième nouveauté de la semaine à s’emparer des premières places du classement, Les Vieux Fourneaux, premier film de Christophe Duthuron, rassemble le public français autour de ses trois têtes d’affiche : Pierre Richard, Roland Giraud et Eddy Mitchell. Rien n’est impossible pour Tom Cruise. La preuve : son Mission : Impossible – Fallout n’est plus qu’à 188 923 places de devenir le plus gros succès de la saga en France depuis dix-huit ans. Il faut dire que sa franchise à succès n’a pas encore fait de miracle chez nous au XXIème siècle. Cette fois, le cap des trois millions d’entrées semble encore accessible !
Pour Hotel Transylvanie, c’est gagné ! Ce troisième volet devient cette semaine le plus fédérateur de la saga. Quant au grand succès de l’été, Les Indestructibles 2, après avoir franchi les 5 millions de billets vendus la semaine dernière, il se paie le luxe de repasser devant Equalizer 2 et de se rajouter quelques centaines de milliers de tickets déchirés au compteur. Notons qu’il devient aussi le quatrième film à atteindre les 5 millions d’entrées en 2018, ce qui n’était pas arrivé depuis 2014. Le box-office français nous a plutôt habitués à ne laisser que deux ou trois films par an transformer cet essai.
Simple, clinique, froid, rapide et efficace, Equalizer 2 fait exactement la même carrière le que premier du nom en 2014. C’est un peu moins le cas de Neuilly sa mère, sa mère ! moins en forme que neuf ans après son film d’origine, sans démériter pour autant.
En mettant trois semaines à franchir le demi-million d’entrées en France, il n’est pas certain que Darkest Minds : Rébellion ait véritablement le potentiel de devenir la nouvelle franchise à succès pour ados. Quant au film d’animation familial Destination Pekin !, il prend son temps pour faire le plein, attirant un peu plus de cent mille spectateurs par semaine avec une stabilité exemplaire qui durera au moins jusqu’à la rentrée, lundi prochain.
Coup dur pour Jean-Claude Van Damme dont le dernier grand écart ne paie pas : sa tentative dans l’univers du polar sombre avec Lukas n’atteint pas les 50 000 entrées en première semaine.
Box-office France du 22 au 28 août 2018 : le Top 10
Dwayne Johnson a mis toute son énergie à devenir une star positive, une icône souriante et incontournable. À en juger par son omniprésence et la quantité homérique de projets qui s’accumulent devant lui, il y est parvenu, s’affirmant comme la principale "action star" d’Hollywood.
Problème, la quasi-totalité des films dans lesquels il joue (et qu’il produit) sont d’embarrassants navets, ou d’inoffensifs divertissements, rapidement oubliés. La star manque encore d’un metteur en scène, d’une véritable prise de risque, d’un projet qui puisse l’asseoir au-dessus de son époque, comme parvinrent à le faire Sylvester Stallone et Arnold Schwarzenegger.
L’alliance de ces deux talents, à savoir une colonne de charisme à l’état brut et un cinéaste toujours motivé par son inventivité et son désir de repousser les frontières technologiques de la narration, est particulièrement alléchante. Et le sujet du métrage l’est tout autant.
King narrera la vie du roi Kamehameha 1e (1758- 1819), qui fut le premier souverain à unifier les îles Hawaïennes, alors en guerre, face aux puissances coloniales. Une destinée sacrément riche, qui pourrait offrir à Johnson le type de créations ambitieuses qui fait justement défaut à sa carrière.
Patience toutefois, l’agenda de la star étant saturé, le tournage ne débutera qu’en 2020.
EN EAUX TROUBLES de John Turterlaub est une film d'Aventures Américain
Bon voir un film avec
un tuba dans des eaux pollués de détritus et de touristes pas évident, donc on
va faire avec. Déjà voilà une coproduction sino-américaine bienvenue vu le
box-office de plus de 500 Millions de dollars dans le monde très appréciés par
le public asiatique en notamment en Chine, qui s’il n'aime pas Star Wars et ses
dérivés, il suffit de situer l'action dans leurs eaux troubles ou pas et d'y
mettre des figures de leurs cinémas pour les faire se déplacer.
Car oui sinon on voit pas tellement l'intérêt de ce film
surtout quand on a à l'esprit les Dents de la Mer, on assiste à un nanar gigantesque
et qui ne s'assume pas comme l'a fait le maintenant mythique Sharknado qui est
aussi débile mais au moins il assume.
Une équipe de chercheurs au cœur de l'Océan Pacifique a été
par un Mégalodon un gros poisson de 23 mètres, et grâce au héros du pauvre
Jonas Taylor (Jason Statham) ils vont essayer de survivre dans le sous-marin à
peine plus grand qu'une coquille de noix alors que la bébête pèse des tonnes,
bien sûr c'est tellement logique, à Geppeto cela le ferait marrer.
A part la scène vers la fin avec les touristes pour copier
Les Dents de la Mer mais qui ne va pas au bout, on aurait aimé un peu de sushi
à toutes les sauces, mais à peine, et dire qu'il y a un avertissement !!!
Donc même pas peur, pas drôle et tellement mal filmé avec un
Mégalodon qui ressemble plus à Nemo qu'à Monstro.
Pour les amateurs de sensation faible et encore !!!
NOTE : 3.10
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : John Turterlaub
Scénario : Dean Georgaris, Jon Hoeber et Erich Hoeber
D'après : Steve Alten
Musique : Harry Gregson-Williams
Production : belle Avery, Colin Wilson, Lorenzo di Bonaventura
Effets Visuels : Adrian de Wet
Costumes : Amanda Neale
Casting : Mindy Marin et Liz Mullane
Décors : Grant Major
Direction Artistique : Robert Bavin, Jill Cormack, George Hamilton, Sam Storey et Ken Turner
Montage : Kelly Matsumoto et Steven Kemper
Photographie ; Tom Stern
Le casting de Star Wars 9 ne cesse de s’agrandir à l’intérieur. Matt Smith, connu pour son rôle dans la série Doctor Who, est annoncé au casting du film. Selon Variety, il devrait avoir un rôle très important, cependant, ce rôle est gardé secret.
Évidemment, toutes les spéculations diront qu’il est le père de Rey parce que les fans veulent vraiment connaître sa parenté.
Ce film marquera le retour à l’écran de Daisy Ridley, Adam Driver, John Boyega, Oscar Isaac, Lupita Nyong’o, Domhnall Gleeson, Kelly Marie Tran, Joonas Suotamo et Billie Lourd, lesquels seront rejoints pour la première fois par Naomi Ackie et Richard E. Grant et Keri Russell.
Les vétérans STAR WARS™ seront également au rendez-vous : Mark Hamill, Anthony Daniels et Billy Dee Williams, qui reprendra son rôle de Lando Calrissian. Le personnage de Leia Organa sera à nouveau interprété par Carrie Fisher à partir de scènes restées inédites tournées lors de Star Wars Le Réveil de la Force.
L’ultime chapitre de la saga Skywalker a été écrit par J.J. Abrams et Chris Terrio.
Réalisé par J.J. Abrams, Star Wars 9est attendu pour décembre 2019 au cinéma.
Les premières séances à Paris ont révélés des grosses surprises avec déjà l'échec tout du moins à Paris de Kin : Le commencement avec 564 entrées et une moyenne de 38 par salles c'est très faible et même battu par un film underground Sauvage et ces 587 entrées et une moyenne formidable de 84 mais succès qui ne devrait pas avoir d'impact sur la France vu le peu de nombre de salles
En tête autre surprise le film coréen Burning avec 1050 entrées mais une moyenne faible avec 62 comme son second Guy avec 1 017 entrées et une moyenne encore plus faible de 46;
Cela sent pas bon pour Bonhomme avec 344 entrées et une moyenne de 17;