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mardi 6 septembre 2016

FESTIVAL DE DEAUVILLE : CHRONIQUE JOUR 4 : LE FESTIVAL DES FRANCO-PHILIPPE

Voici le quatrième jour de ce Festival Américain de Deauville 2016, et malgré le temps gris et chargé la journée a été ensoleillée par la présence unique et intemporelle de l'acteur, réalisateur, producteur, peintre et entre autres écrivain dans le coin gauche du Ring, Jamesssssssss Francoooooooooooo.

Si vous n'aimez pas James Franco, cette chronique n'est pas faite pour vous,en effet votre seigneur et maître que je suis a joué les midinettes toute la journée dans cette journée pluvassieuse, pour espérer voir un regard, un sourire, un bout de casquettes, ou de chaussures du sorcier des réseaux sociaux James.

On avait au début de cette journée deux objectifs, le Photo-Call à 14h45 et le Tapis Rouge à 20h00, car avec ses horaires c'étaient sur le papier, car James a été à la hauteur de sa réputation notamment envers ses fans, mais également envers les médias, qui à la différence de beaucoup d'acteurs français, défend son ou ses films (hier il y en avait deux) et en parle de long et en large en passionné qu'il est et de sa connaissance de la langue et du pouvoir médiatique.



Mais si on regardait le programme du sieur, je pensais qu'il pouvait faire une sortie à l'occasion du film en compétition à 11 heures "Goat" de Andrew Neel, ce qui en a surpris plus d'un car un acteur à qui on rend hommage pendant la durée du Festival, mais qui vient soutenir un film, même avec une petite participation c'est assez unique et grandiose.

Donc première photo à l'Hôtel Royal avec le James en Jeans, Casquette dévissée sur la tête à la manière des jeun's, une belle moustache digne des Brigades du Tigre, et ces éternelles lunettes, mais bon quand même une belle photo.



On continue notre quête, on l'attend cette fois au Tapis Bleu du CID (Oui j'ai des complices) ou il sort après la projection du film "Goat", il est donc resté tout le film, bon là cela aurait du être parfait avec le talent d'un pote pour une photo parfaite, si une main baladeuse ne c'était pas incrusté sur la photo, mais finalement la virée n'a pas été inutile, car quand je l'ai appelé il m'a touché le bras droit avec gentillesse (je lave plus mon blouson) et d'après la rumeur Deauvillaise "Il m'aurait souri" (si si il a souri).

Que dire, de ma colère, de ma déception, de ce raté, j'avais la haine , donc avec Kasso, Cassel et Said on a cassé la gueule et détruit cette main sanglante qui a brisé mon rêve.



Il ne restait plus que le Photo-Call, avec un quart d'heure de retard, mais pas grave j'aurais attendu sous la neige et la grêle toute la nuit, il est arrivé et passé en revue, tout ces admirateurs et admiratrices, mais également des personnes qui ne savent même pas qui il est (quand même au bout de 90 films), il est passé mécaniquement, chirurgicalement , il a signé tous les documents ou photos, jaquettes qu'on lui a présentés (j'ai eu le droit à son autographe dans la foulée) et a inauguré sa cabine sans se départir des ces fameuse lunettes de soleil (il y en avait tellement), mais tout le monde a eu son compte de son moment de gloire ou de plaisir, car il a en plus posé avec chacun des fans qu'ils le souhaitaient avec un petit geste d'approbation à chacun.

La fin de ce Photo-Call s'annonçait, James ayant fini sa quête de photos, et quand soudain dans la ligne droite de Deauville, le beau James est apparu dans ma ligne de mire, dans un halo de sainteté, une petite demande de ma part, un petit geste de sa part, et hop et mon bras s'allongea pour prendre un selfie parfait en plus avec mon idole du jour.

La journée a été plus que réussie, et je ne sentais plus mes pieds, je marchais sur l'eau, bon, quand j'ai atterri vers 20h30 ou j'ai souffert ma race quand mes pieds ont touché terre, je ne me suis aperçu que je n'étais qu'un humain, mais j'ai été rempli de joie pendant cette journée et c'était parfait pour moi.



Bien sur on a été présent sur le Tapis Rouge sans grand espoir, on était assez loin, mais juste ce qu'il faut, car c'était sans compter sur le sieur James, qui alors que les voitures s'arrêtaient en haut du tapis, il est descendu de la voiture 15 mécaniquement et il est descendu seul et a abandonné la sécurité et de ses attachés de presse, vers le début du Tapis, et qu'il a remonté, fan par fan, photo par photo, jacquette par jacquette tel un métronome dans un concours de Tir au Pistolet aux Jeux Olympiques, au grand dam de l'organisation, et comme il a une nouvelle fois défendu son film et sur le tapis et dans la salle, les festivaliers du jour n'ont pas du dormir tôt.



A l'arrivée qu'est je pensé de James Franco, exactement ce que je pensais et ce que j'espérais de lui, pas un acteur à midinette et dans son comportement idem, mais un garçon qui respecte son public, les gens qui viennent le voir même quelques secondes, laissant un souvenir à chacun, et sachant utilisé chaque seconde de son temps à ce qu'il à faire au moment où il faut le faire, en gros la Classe Internationale, je suis sur qu'il va laissé un grand souvenir dans ce festival.

Le coup des lunettes je commence à le comprendre, déjà qu'il avait les yeux fatigués et pour cause avec tout ce qu'il fait, mais avec le nombre de flash qu'il se prend dans la gueule sur les tapis et autres cela doit être affreux, donc accusé excusé.

Et comme je le présumais à chaque fois que James sortait son nez, la pluie s'arrêtait, ah Noé aurait bien aimé Franco.

Je peut allez maintenant m'endormir et rêver que je l'ai rencontrer et que je ne me réveille pas comme dans un cauchemar. Heureusement il reste les photos et les vidéos, j'ai même rendu l'appareil à un copain qui m'avait pris plus tôt en le faisant poser avec Jamesssssssssssss Francoooooooooo.

Chloé Grace Moretz and Me

James Franco

Le ramasseur de Plumes


James Franco

James and Me

Lucy ane Me

Lucy Boyton

Olivier Sitruk

Mon Pote Fabrice et James Franco







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