Synopsis : Deux copains âgés d'une vingtaine d'années vivant à Miami Beach à l'époque de la guerre en Irak, profitent d'un dispositif méconnu du gouvernement fédéral, permettant à de petites entreprises de répondre à des appels d'offres de l'armée américaine. Si leurs débuts sont modestes, ils ne tardent pas à empocher de grosses sommes d'argent et à mener la grande vie. Mais les deux amis sont totalement dépassés par les événements lorsqu'ils décrochent un contrat de 300 millions de dollars destiné à armer les soldats afghans. Car, pour honorer leurs obligations, ils doivent entrer en contact avec des individus très peu recommandables… dont certains font partie du gouvernement américain…
Le scénario de Ward Dogs est tirée d'une histoire vraie, celle de d'Efraim Diveroli et de David Packouz qui ont profité d'une faille dans le système fédéral et qui furent vite dépassés par les événements.
Avant que ce soit Jonah Hill et Miles Teller rejoignent le acsting c'est Jesse Eisenberg et Shia LaBeouf qui était pressentis pour les rôles.
Le vrai Efraim a refusé de rencontrer Jonah Hill dans le cadre de la préparation du film, finalement ce garçon (Jonah) a du mal avec la communication, en effet il est au centre d'un pseudo scandale lors de sa présence au Grand Journal, où il a pas aimé et pas aimé du tout, qu'on le titille sur sa carrière et son physique, au premier abord on ce dit qu'il a raison, mais en écoutant en entier l'intervention de la Miss Météo, il y avait pas de quoi fouetter un chat, relevant finalement que ce garçon n'est finalement pas très sympathique et agressif. Il a en effet annulé ses interviews au Festival de Deauville et a donné vraiment le minimum (surtout au Tapis Rouge) avec ses fans.
Est ce que c'est ce fait, qui fait je sors avec une impression mitigée de ce film.
Bon si la morale de l'histoire n'est pas édifiante et met un frein à l'empathie des personnages, avec une indication que beaucoup déteste "tirée d'une histoire vraie" alors qu'elle plus que romancée, pour pouvoir attirer le public, alors qu'une histoire inventée aurait eu plus d'impact sur le scénario, enfin bon, faisons avec.
Le film n'a pas la qualité de Lord of the War qui parle du même sujet de fond et à même pompé quelques scène sur la manipulation de ce traffic d'armes,
A l'arrivée on subit des sceynettes sans grand intérêt avec des personnages que ce soient dans le désert, chez les racailles ou chez les militaires, rien ne semble vrai, mais pas faux non plus, enfin comment dire, sans âmes.
Oh a le droit à la bombasse du jour sans grand intérêt pour l'histoire, mais qui va faire fondre la midinette dans son fauteuil.
Côté acteur, aucun des deux Jonah Hill (peut être plus important dans le scénario) et Miles Teller (loin de Whiplash) m'interpelle et me donne quelque joie.
Un petit film d'aventure fait quand même par Todd Philipps, réalisateur de la Trilogie de Very Bad Trip, ceux-ci expliquant cela.
Note : 9.10
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Todd Philipps
Scénario ; Jason Smilovic, Todd Phillips er Stephen Chin
D'après l'article de : Guy Lawson
Musique , Cliff Martinez
Production : Todd Phillips, Scott Budnick, Mark Gordon II, Bradley Cooper et Bryan Zuriff
1er Assistant Réalisateur : Tom Davies
Casting : John Papsidera
Décors : Danielle Berman et Carmen Dima et Bill Brzeski
Directeur Artistique : Jonathan Carlos, Desma Murphy et Jay Pellissier
Montage : Jeff Groth
Photographie ; Lawrence Sher
Costumes : Michael Kaplan
Effets Spéciaux : James Lorimer II, Adrian Popescu et Robert Stadd
Cascades : Gary Michael Hymes
Coiffure : Kimberly Spiteri
Maquillage : Dennis Liddiard
DISTRIBUTION
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