Damien Samedi a 43 ans. Quand il était enfant, dans son
village wallon en bord de Meuse, on l’appelait le "Petit Samedi".
Pour sa mère Ysma, Damien est toujours son gamin, celui qu’elle n’a jamais
abandonné lorsqu’il est tombé dans la drogue. Un fils qui a, malgré tout,
cherché à protéger sa mère. Un homme qui tente de se libérer de ses addictions
et qui fait face à son histoire pour s’en sortir.
Oui Samedi n'a rien avoir la journée de la semaine, c'est
son prénom, mais il est certain que ce garçon de 43 ans a dû subir les
humiliations à l'2cole.
On suit donc la solitude de Damien et des conversations avec
sa mère qui fait le point de sa dépression et de ses addictions où on voit la
difficulté de Damien d'essayer de s'en remettre, d'une enfance au bord de la
misère où chaque portion de légumes est importante, mais malgré ses frasques il
va garder l'amour et la protection de sa mère, comme elle le faisait quand il
était petit où elle sacrifiait des repas pour que ses enfants mangent ;
Film à l'ambiance triste , comme le temps qui passe avec ses souvenirs et ses problèmes au quotidien
Un Hymne à l'amour d’une mère et à un frère, car je pense
que la réalisatrice est la sœur de Damien et la fille de Ysma.
Note : 11.50
AUTEUR(S)-RÉALISATEUR(S)
IMAGE
SON
Thomas Grimm-Landsberg, Fabrice Osinski
MONTAGE
Lenka Fillnerova, Aline Gavroy
PRODUCTION / DIFFUSION
Michigan Films, Take Five, WIP - Wallonie Image Production, Dérives
PARTICIPATION
Centre du Cinéma et de l'Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles
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