En , Hubert Bonisseur de La Bath est retenu prisonnier en Afghanistan. Ses ravisseurs exigent de la France des armes en échange de leur célèbre espion. Il parvient finalement à s'échapper. De retour à Paris, il rencontre Serge, alias OSS 1001, un tout jeune agent bien différent de lui. Alors que Serge est envoyé en mission en Afrique de l'Ouest pour aider le dirigeant Koudjo Sangawe Bamba à mater des rebelles, Hubert Bonisseur de La Bath est assigné au traitement informatique des dossiers de l'agence. Mais lorsqu'OSS 1001 disparait, on envoie OSS 117 poursuivre la mission. Son nom de couverture sera Émile Cousin, un homme d'affaires. À son arrivée, il est accueilli comme un chef d'état...
Les bases des deux premiers OSS 117 sont là , mais le
workisme actuel et les X Mouvements donnent l'impression que Jean François
Halin le scénariste à mis la pédale douce sur les situations qui auraient pu
poser problème plus sur les réseaux sociaux que les spectateurs , car ceux-là
attendent de Hubert Bonnisseur de la Bathe qui soit no limite et qu'il abuse de
tout (son racisme, son homophobie, son sectarisme, son antiféminisme) bien sur
certains peuvent trouvé cela vulgaire , mais 80% des films comiques
et policiers des années 60/80 ne seraient plus visibles, il faut faire la part
des choses mais pour certains c'est difficile et en plus quand les polémiques
existent vraiment inventé de toutes pièces par certains pour créer le Buzz.
Donc oui ce OSS117 n'est pas de la même veine parce qu'il
est light, que le rythme n'est pas du tout là et les gags vraiment drôles absent,
même le dernier post-générique qu'on voit venir à 20 kilomètres.
Idem pour Jean Dujardin pourtant avec une multitude de
possibilités et en souffrance, mais surtout le sexy Pierre Niney en caleçon mesdames
(que j'aime pourtant ... l'acteur pas le slip de bain) ralentit les actions et
les dialogues qui ne sont pas écrits pour lui.
Un film moins féminin même si Natacha Lindinger s'en sort
bien.
Alors un film qui se laisse voir facilement mais avec un étage
de moins (voir deux) dans l'humour trash (Hazanavicius avait bien senti la
chose en refusant le scénario)
NOTE : 11.20
FICHE TECHNIQUE
- Réalisation : Nicolas Bedos
- Scénario : Jean-François Halin, d'après l’œuvre de Jean Bruce
- Adaptation et dialogues : Nicolas Bedos et Jean-François Halin
- Montage : Florence Vassault
- Costumes : Charlotte David
- Décors : Stéphane Rozenbaum
- Musique : Anne-Sophie Versnaeyen et Nicolas Bedos
- Photographie : Laurent Tangy
- Producteurs : Eric et Nicolas Altmayer
- Sociétés de production : Mandarin Cinéma, Gaumont et M6 Films
- Société de distribution : Gaumont (France)
- Budget : 18,34 millions d'euros
- Pays de production : France
DISTRIBUTION
- Jean Dujardin : Hubert Bonisseur de La Bath / OSS 117
- Pierre Niney : Serge / OSS 1001
- Fatou N'Diaye : Zéphyrine Bamba
- Natacha Lindinger : Micheline Pierson
- Wladimir Yordanoff : Armand Lesignac
- Gilles Cohen : Roland Lépervier
- Habib Dembélé : Koudjo Sangawe Bamba / les 3 sosies
- Pol White : Léon Nkomo
- Ivan Franek : Kazimir
- Emil Abossolo-Mbo : Pamplemousse
- Ibrahim Koma : Promedi
- Brice Fournier : le broussard
- Christelle Cornil : Josie Ledentu
- Karim Barras : Jacky Jacquard
- Bruno Paviot : Roger Moulinier
- Jean-Édouard Bodziak : Jean-René Calot
- Martial Courcier : Jean-Loup l'informaticien
- Anne-Charlotte Pontabry : Annie
- Marie-Philomène Nga : la femme de Léon
- Ricky Tribord : le serveur de l'hôtel
- Luc Antoni : Roussel
- Nicolas Bedos : l'homme au bar avec Micheline (caméo)
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