Le film raconte l'histoire du légendaire gardien de but Lev Yashin, grâce auquel l'équipe de l'URSS au milieu du 20e siècle a remporté les prix de football les plus importants.
27 mai 1971. Moscou, en attendant le match d'adieu du gardien de football Lev Yashin. Pour la première fois dans l'histoire du footballeur soviétique, toutes les stars du football mondial seront honorées.
En prévision de cet événement, Lev Yashin se souvient des personnes et des matchs auxquels sa carrière a été associée – et du but ridicule concédé lors du premier match de l'équipe principale du Dynamo , après quoi il est resté sur le banc pendant 2 ans ; et un entraînement intensif, le renvoyant dans l'équipe principale; et parlant pour l' équipe nationale de football de l' Union soviétique à la Coupe d'Europe des Nations 1960 ; et un échec à la Coupe du monde de football de 1962 au Chili , qui pourrait mettre un terme à sa carrière ; et le match de l'équipe mondiale le 23 octobre 1963 à Londres.
Un film très politique sans en avoir l'air à la gloire de
Yachine considéré comme le plus grand gardien de but de tous les temps
(derrière Barthez sic) surnommée l'Araignée Noire , mais un film surtout à la
gloire de la grande Russie, tellement on ne veut que démontrer le talent de
Yachine, le football on en parle finalement, mais on parle beaucoup que le
pauvre soldat (peuple) de l'ombre pauvre mais responsable va tout faire pour arriver
au sommet aidé en soi par la présence omnipotente des instances dirigeantes non
seulement de la Fédération de Foot de Russie , mais également et surtout celle
des dirigeants du pouvoir , dans les couloirs de la vie de Yachine , dirigeant
tout à sa place montrant que sans l'état , un sportif n'est rien.
Film de propagande à 100%, si les Américains auraient ajouté
des pleurs et un parcours de gloire du sportif, les Russes montrent eux la
sueur et les remerciements au pouvoir, chacun ses choix, mais pas l'impression
même en 20 ans de carrière qu'on apprend grand-chose sur cet homme, dont on ne
montre pas grand-chose, peut-être qu'il était parfait, mais à ce point c'est
surnaturel. Le film dure deux heures mais je reste sur ma faim, match nul.
Le réalisateur applique très bien la formule, quand La Légende
est plus belle que la vérité, imprimons la légende.
NOTE : 11.10
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