Vu sur Netflix la mini-série Le Journal d’Andy Warhol de Andrew Rossi
La série raconte la construction de son œuvre où tous le
monde voyait des messages, peut-être … peut-être pas, par les images, les films,
et des témoignages de ses proches, de ses collaborateurs et amis de ses amants.
Bien sur on y parle de ses amours, moins que la rumeur veut
le dire, trois vrais amants, des rencontres platoniques comme avec Basquiat,
Andy qui jouait avec son homosexualité plus pour ne pas en parler que pour
provoquer.
A travers lui on se retrouve dans les années lumières des
années 70, où tout était permis, comme on l’a vécu à un degré moindre à Paris, où
la création en tous genres s’inventaient chaque jour dont le Pape était Andy
Warhol, et puis les années de plomb des années Sida des années 80, où chaque
ami autour de Andy disparaissait chaque jour.
Bourré d’anecdotes, de découvertes, cette mini-série est
vraiment la série définitive de cette artiste souvent incomprise par les
pisses-froids, homophobes et compagnie. Elle va vous faire vibrer, versée une
larme, un sourire. Formidable
Andy I Not Robot
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