Sensiblement plus jeune que son pendant cannois, qui voit actuellement sa 56ème édition prendre forme, et aux critères de sélection plus vagues que ceux de la Semaine de la Critique française, qui se limite aux premiers et deuxièmes films, cette programmation vise surtout à promouvoir un type de cinéma susceptible de provoquer des discussion. Ainsi, l’édition 2017 s’ouvre sur une conférence à laquelle participeront entre autres la réalisatrice grecque Athina Rachel Tsangari et le critique français des Cahiers du Cinéma Joachim Lepastier et qui a pour thème le rôle de la politique au cinéma.
Les longs-métrages
Aroused by Gymnopedies (Japon) de Isao Yukisada, avec Itsuji Ifao et Sumire Ashina
California Dreams (Etats-Unis) de Mike Ott, avec Cory Zacharia et Kevin Gilger
Green White Green (Nigéria) de Abba T. Makama, avec Ifeanyi Dike Jr. et Samuel Robinson
The Human surge (Argentine) de Eduardo Williams, avec Sergio Morosini et Shine Marx
I am not Madame Bovary (Chine) de Feng Xiaogang, avec Fan Bingbing et Guo Tao
Let the Summer Never Come Again (Allemagne) de Alexandre Koberidze, avec Mate Kevlischvili et Giorgi Bochorishvili
Planétarium (France) de Rebecca Zlotowski, avec Natalie Portman et Lily-Rose Depp
Les courts-métrages
Fuddy Duddy (Autriche) de Siefried A. Fruhauf
The Headless Appearance (Hongrie) de Bori Maté
Sarah Winchester opéra fantôme (France) de Bertrand Bonnello, avec Reda Kateb et Marie Agnès-Gillot
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