Synopsis : Alors que 5000 passagers endormis pour longtemps voyagent dans l’espace vers une nouvelle planète, deux d’entre eux sont accidentellement tirés de leur sommeil artificiel 90 ans trop tôt. Jim et Aurora doivent désormais accepter l’idée de passer le reste de leur existence à bord du vaisseau spatial. Alors qu’ils éprouvent peu à peu une indéniable attirance, ils découvrent que le vaisseau court un grave danger. La vie des milliers de passagers endormis est entre leurs mains…
Par le Scénariste de Prometheus (John Spaiths) ce film figurait sur la BlackList des meilleurs scénarios d'Hollywood, mais voilà entre la feuille blanche et l'écran blanc il y a un pas à franchir.
Passengers est passé par de nombreux castings avant celui définitif, Keanu Reeves était pressenti avant Chris Pratt, et Reese Witherspoon, Rachel McAdams et Emily Blunt avant Jennifer Lawrence, il est certain que le casting définitif avait pour but de rajeunir les futurs spectateurs.
Mais qui aurait osé prendre le rôle de Andy Garcia, vu au total dans le dernière scène du film, trois ......... secondes et encore.
Un scénario qui aurait pu être intéressant, seul dans l'univers avec 120 ans d'avance , mieux que la SNCF, et la première partie avec Chris Pratt est la meilleure du film, qui n'est pas sans nous rappeler Matt Damon dans Seul sur Mars, le confort en plus, devant ce coltiné sa solitude dans ce décor digne d'un grand paquebot de croisière.
Des portes, des couloirs, des pièces à n'en plus finir, comme si Stéphane Bern se retrouvait tout seul dans le Chteau de Versailles, face à l'ennui, même pas de films porno, de la bouffe en sachet, on pense à notre astronaute dans l'espace, mais cela avait un intérêt.
Mais voilà que Jim décide de réveiller "Aurora" pour passer ses nuits d'hivers au chaud sous la couette, on perd en intensité, en charme, ou en intérêt, si au moins il avait réveillé Keanu Reeves à la place, cela aurait donner du piment.
Non dès cet instant, on s'ennuie et c'est pas avec l'arrivée du capitaine de bord (Lawrence Fishburne) que cela va changer, jouant au petit mécano pour allez faire un tour dans l'espace (Gravity est passé par là).
La faute à Jennifer Lawrence qui minaude trop et semble se tromper dans sa carrière, que je pensais parti sur un tapis faite de roses, non là elle en fait des tonnes, et on peut même pas lui demander d'allez faire un tour dans l'espace.
Heureusement le charmant et massif Chris Pratt nous amuse bien, comme dans Jurrassic World ou Les Gardiens de la Galaxie, mais devra faire attention lorsque cela ira moins bien, car on sent bien que le petit gros va revenir en force.
Les Décors de cette station spatiale sont parfait avec de l'espace, un jardin extraordinaire.
Donc à l'arrivée un film avec un manque de rythme, de solution et d'intérêt.
NOTE : 10.40
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Morten Tyldum
Scénario : Jon Spailhts
Musique ; Thomas Newman
Production ; Stephen Hamel, Michael Maher, Ori Marmur et Neal H.Moritz
Costumes ; Jany Temime
Casting ; Francine Maisler
Décors : Gene Serdena
Directeur Artistiqye ; John Colluns, Kevin Constant, Luke Freeborn, Gregory S.Hooper et Michael H.Ward
Montage : Maryann Brandon
Photographie ; Rodrigo Prieto
DISTRIBUTION
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