Synopsis : Wonder Wheel croise les trajectoires de quatre personnages, dans l'effervescence du parc d’attraction de Coney Island, dans les années 50 : Ginny, ex-actrice lunatique reconvertie serveuse ; Humpty, opérateur de manège marié à Ginny ; Mickey, séduisant maître-nageur aspirant à devenir dramaturge ; et Carolina, fille de Humpty longtemps disparue de la circulation qui se réfugie chez son père pour fuir les gangsters à ses trousses.
Est-ce que les
affaires de harcèlement, de viols et d'incestes vont commencer à avoir une
influence sur l'état de nos neurones quand on ira voir un film avec une
personne concernée, si oui cela démontrera aussi à quels niveaux ont prends les
faits pour véridique.
En attendant, je ne suis pas entré du tout dans cette
histoire d'amour à plusieurs angles, comme d'ailleurs tous les derniers films
de Woody Allen, commence-t-il a fatigué, ou commence-t-on à se fatigué de ces
films qui se ressemblent et ou son humour et on ingéniosité ne font plus place
dans ces films
Le film est situé à l’abord du Parc d'Attraction de Coney
Island et pour ce qui connaisse la filmographie de Allen, retrouveront les
décors que fréquentaient la petite Alvy Singer dans Annie Hall ; la boucle
est-elle bouclée, ce qui pourrait être le dernier film de Allen que l'on
pourrait voir.
Pourquoi je ne suis pas entré dans cette histoire habituelle
des couples cher au cinéma d'Allen, de tromperie, de mariage raté, de
faux-semblants d'être qui ne se parle même plus, pourtant que l'on voit dans
presque tous ces films, je sais pas, cet huis-clos presque permanent, comme
dans une pièce de théâtre intemporel, on l'on voit les personnages côté cour et
côté jardin, me donne autant le tournis que cette tour qui est le principal
personnage de décors de ce parc.
Je n’aime pas le fait qu'il utilise le numérique et les
effets visuels pour faire croire qu'une plage est rempli, car si vous êtes très
attentionné vous verrez les mêmes personnages parmi ceux qui se prélassent sur
la plage comme dans l'effet d'un miroir à l'infini.
Le problème est aussi dans le scénario et les dialogues
insipides et sans saveurs, avec des situations ubuesques mais pas du tout drôle
ce qui est comble dans le cinéma, le film sous un côté comédie aurait eu plus
d'impact dans notre vision du film, mais le côté mélo ne lui sied guère.
Seuls certains personnages ont de l’intérêt, Richie (Jack
Gore) le fils incendiaire, Mickey (Justin Timberlake) vraie gueule des années
30/40, et James Belushi qu'on est content de revoir, mais ce sont les rôles
féminins qui sont décevants (Kate Winslet et Juno Temple) qui semblent perdus
entre plage et Roue de la vie, ce qui est un comble chez Allen.
A l'arrivée un petit Allen.
NOTE : 10.50
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Woody Allen
Scénario : Woody Allen
Production : Edward Walson, Letty Aronson et Erika Aronson pour Amazon Studios
Effets Visuels ; Eran Dinur
Costumes : Suzy Benzinger
Casting : Patricia Kerrigan DiCerto
Décors : Santo Loquasto
Directeur Artistique : Miguel Lopez-Castillo
Montage : Alisa Lepselter
Photographie ; Vittorio Storaro
DISTRIBUTION
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