Eddie Edwards n’a jamais rien eu d’un athlète, bien au contraire. Pourtant, depuis qu’il est petit, il n’a qu’un seul rêve : participer aux Jeux Olympiques. Au fil des années, ni son piètre niveau sportif, ni le manque de soutien, ni les moqueries n’ont entamé sa volonté. Et c’est ainsi qu’en 1988, celui qui n’a jamais lâché a réussi à se retrouver, on ne sait trop comment, aux Jeux Olympiques d’hiver de Calgary.
Avec l’aide d’un entraîneur aussi atypique que lui, ce sauteur à ski pas comme les autres va secouer le monde du sport et conquérir le cœur du public en accomplissant une performance olympique aussi improbable qu’historique...
Qui est Eddie Edwards : Edwards naît à Cheltenham dans le Gloucestershire en Angleterre. Pratiquant le ski alpin, il manque de peu sa qualification pour la descente des Jeux olympiques d'hiver de 1984. Afin d'améliorer les chances de se qualifier pour les Jeux de Calgary en 1988, il se rend à Lake Placid aux États-Unis pour s'entraîner et participer à des courses de plus haut niveau, mais il est rapidement à court d'argent. Il change de discipline et commence le saut à ski pour des raisons de coûts et parce qu'aucun autre sauteur britannique n'est en concurrence avec lui pour une place aux Jeux olympiques.
Edwards apprend le saut à ski à Lake Placid avec Chuck Berghorn. Il est handicapé par son poids— environ 82 kg — et par son manque d'argent pour financer son entraînement. Il est atteint d'hypermétropie, ce qui représente un autre problème puisqu'il doit porter des lunettes en permanence. Pendant les sauts, il ne voit souvent plus rien à cause de la buée.
Edwards représente son pays pour la première fois aux championnats du monde de 1987. Il se place au 55e rang, ce qui lui permet, en tant que seul candidat britannique, de se qualifier pour les épreuves de saut à ski aux Jeux olympiques de 1988. Il établit un record du Royaume-Uni en sautant à 73,5 mètres à Calgary.
On se souvient plus lors de ces Jeux de 1988 avec la célèbre équipe de Bobsleigh Jamaiquains 'les Rasta Rockets" grâce au cinéma, mais lors de ces Jeux Olympiques, Eddie Edwards avait plus attirer l'attention , et même cité lors de la Cérémonie de Clôture, car il représentait l'esprit des Jeux Olympiques réservés aux amateurs cher à nos coeurs.
Et en plus ce garçon de 22 ans encore puceau, est bien sympathique et dénoué de toute envie de revanche, le sport comme on l'aime, mais qui n'existe plus guère.
Ce type de film, toujours sympathique à l'évidence car parlant de l'âme humaine et souvent solitaire, donnent évident des frissons alors que nous sommes loin et même très loin dans son cas des exploits athlétiques, mais en mettant à l'évidence la gentillesse du loser devant l'égo du champion finlandais on sait par avance que l'on ne veut pas dans un biopic sanglant .
Ce héros naif pensant pouvoir vivre son rêve de participer aux JO que ce soit dans la catégorie de lancements de billes ou d'autres sports imbéciles, n'a qu'un but y allez, et on suit avec délectation son parcours et sa hargne pour y arriver.
Le grand plus du film est aussi la performance habité du jeune Taron Egerton (The Kingsman) qui m'étonne à chaque film, et qui pour moi à la gueule et le talent pour jouer différents rôles au cinéma, malgré qu'il soit petit. Je mettrais bien une pièce sur sa future carrière dans le même ordre que Tom Hardy. Hugh Jackman qui joue là un personnage fictif est bouffé tout cru par je jeune Taron.
Plaisir aussi de voir entrer dans une pièce Christopher Walekn et que tout le monde se taise, la classe international.
Même si cela peut paraître un peu académique, on reste scotché part tant de ferveur et d'optimisme du personnage, et tenue tout du long sans mouchoirs imbibés de larmes.
Note : 15.10
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Dexter Flecher
Scénario ; Sean Macaulay et Simon Kelton
D'après l'oeuvre de : Simon Kelton
Musique ; Matthex Margeson
Producteur ; Matthew Vaughn, Adam Bohling, David Reidn Ruper Maconick et Valérie Van Galder
Maquillage : Nadia Stacey
Coiffure , Nadia Stacey
Costumes ; Annie Hardingue
1er Assistant Réalisateur : Jack Ravenscroft
Décor ; Mike Gunn
Directeur Artistique ; Tim Blake
Montage : Martin Walsh
Photographie ; George Richmond
DISTRIBUTION
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