Pages

dimanche 2 novembre 2014

CHRONIQUE DE LA SEMAINE : AIR WICK ET VIE SAUVAGE DE GUERLAIN !!!

Drôle de semaine , avec beaucoup de film vu en Festival (ah le calendrier des sorties) et pour le reste aucun événement marquant.

Mais l'événement marquant, est l'explosion de la chronologie des médias fait par l'opérateur de Vidéo à la demande "NetFlix". en effet pour la première fois en France, deux films attendus ne sortiront pas en salles,mais directement sur le site de l'opérateur,en l'occurrence The Disseaparance of Eleanor Rigby et surtout Saint Vincent avec Bill Murray qui sort ce Week-end aux States.

Il faudra donc s'habituer à changer nos habitudes, dans la vision des films, qui sera le perdant, pour moi pas Canal Play ou Orange, mais les sites de Streaming (même si l'offre n'est pas expendentiel) qui vont être en concurrence direct, la qualité en plus pour Netflix.

John Wick de David Letch et Chad Stahelski avec Keanu Reeves , Michael Nyvquist (Millénium l'original), William Dafoe, John Leguizamo et Alfie Allen, est-il un parfum du renouveau et du retour de Keanu Reeves au devant de la scène.

Renouveau peut être,car le film a bien commencé sa carrière aux States , ce qui fait longtemps ce qui lui est pas arrivé, ce qui lui permet d'être invité aux Grand Prix des Etats-Unis de Formule 1, mais au niveau du retour non, car c'est le 4ème film de Keanu cette année (47 Ronin, Man of Taichi, et un documentaire sur le numérique). Non pour Keanu point de break au cinéma.

"Depuis la mort de sa femme bien-aimée, John Wick passe ses journées  à retaper sa Ford-mustang de 1969, avec pour seule compagnie sa chienne Daisy. Il mène une vie sans histoire,jusqu'à ce qu'un malfrat sadique nomme Iosef Tarasof remarque sa voiture. John refuse de la lui vendre. Iosef n'acceptant pas qu'on lui résiste, s'introduit chez John avec deux complices pour voler la mustang et tuer sauvagement Daisy ...

John remonte la piste de Iosef jusqu'à New York ou un ancien contact Aurelio, lui apprend que le malfrat est le fils unique d'un grand patron de la pègre, Viggo Tarasof. La rumeur se répand rapidement dans le milieu : le légendaire tueur cherche Iosef, Viggo met prix la tête de John, quiconque l'abattra touchera une énorme récompense. John a désormais tous les assassins de New York aux Trousses."

Le but du jeu du film est de savoir, à quels moments on va s'arrêter de compter le nombre de morts (500....1000) car sinon on ne peut pas dire qu'on a un scénario très efficace et intéressant, à part les séquence énigmatiques avec le concierge du Continental, l'Hôtel ou descendent tous les tueurs de la ville.

Keanu Reeves qui aussi énigmatique dans ce film, que dans sa vie privée , fait ce qui peut, mais il fait peu.

Pour ceux qui aiment les films d'actions, de voitures, heureusement qu'il avait pas enlever son chien et tuer sa voiture ..........

Note :9.80


On va donner un conseil à la WWE cher à un ami, d'organiser un match entre Cedric Kahn , réalisateur de talent qui serait de l'ange blanc et de l'autre Matthieu Kassovitz l'énervé du cinéma Français, dont le cinéma français est de la merde, et dont il va quand même prendre les cachets qu'on lui promet dans le rôle de l'ange noir.

Oui, car dans ce "Vie Sauvage" de Cédric Kahn avec donc Matthieu Kassovitz, Céline Salette et Sofiane Neveu et David Gastou est le type même de film que dès avant sa sortie, le film est plombé, quelque soit sa qualité et son sujet.

"L'histoire est celle de Philippe Fournier, dit Paco,qui décide de ne pas ramener ses fils de 6 et 7 ans à leur mère qui en avait obtenu la garde. Enfants puis adolescents , Okyesa e Tsali vont rester cachés sous différentes identités. Greniers,mas, caravanes, communautés sont autant de refuges qui leur permettront de vivre avec leur père, en communion avec la nature et les animaux.

Traqués par la police et recherchés, sans relâche par leur mère, ils découvrent le danger, la peur et le manque mais aussi la solidarité des amis rencontrés sur leur chemin, le bonheur d'une vie hors système : nomades et libres. Une cavale de 11 ans à travers la France qui va forger leur identité."

On reconnaîtra dans cette histoire, celle de Xavier Fortin et ses deux fils Shani Yena et Okwari mis à l'écart de la vie moderne et sociale.

Mon premier but était de comprendre ce qui a poussé cet homme à isolé ces enfants les mettant en danger physiquement et psychologiquement. Je ne sais pas pourquoi, on a l'impression que le réalisateur n'avait pas prise sur son acteur principal, ce qui fait malgré tout qu'on ne compatit pas à son histoire et son destin épique.

L'histoire réel était pour moi déjà une faute du père, qui a retiré les enfants à leurs mères, mais les explications on attendra , Kahn montrant uniquement une sorte de colonie de vacances pour les enfants, cela manque de réalisme et de puissance.

Kassovitz en fait des tonnes dans la peau du rebelle, cheveux hirsutes et vie sauvage.

Note : 10.20


Qu'arrive t-il à Philipp Noyce avec ce THE GIVER avec Brenton Thwaites, Mery Streep, Jeff Bridges, Odeya Rush et Alexander Skarsgard, tellement son film est d'un autre qu'on ne connaît pas encore,ou qui nous rappelle de mauvais souvenir. Employé le mot niais n'est pas loin de la vérité et de ses poncifs absurde.

Le film commence en noir et blanc, comme pour nous dire que c'était mieux avant,et quand la couleur vient petit à petit c'est quand le héros n'obéit plus, drôle de raccourci.

L'histoire se passe dans le futur, où les émotions ont été supprimées grâce à l'effacement de toute trace histoire. Tous les individus sont formâtes pour se comporter de façon préétablie. Le passeur est la seule personne qui peut se souvenir du passé, en cas de nécessité. Le jeune Jonas , 16 ans est choisi pour être le nouveau passeur.

Tout est dans le pitch du film,comme dans le future, les émotions de ce film ont été supprimés.

Divergente étais un sous Hunger Games, La Stratégie Ender un sous Divergente , et bien The Giver est un sous, sous Stratégie Enfer, c'est à dire le niveau.

Et pourtant le film était tiré d'un roman de Lois Lowry (Le passeur) dont la famille Bridges (Père et fils)dont Jeff est ici le producteur, ont été impliqué dans ce projet et ce depuis 30 ans. L'histoire dit qu'il ont tourné ensemble une version de ce film pour leur propre plaisir. Dans The Giver, Jeff tient le rôle dévolu à son père.

Le scénario est insipide, et les décors fabriqués chez le Castorama d'Equalizer.

Les jeunes n'ont aucune expression, et Jeff Bridges et Mery Streep cabotinent à tout va (des impôts à payer ?).

Passez votre chemin et allez revoir Mommy pour le 7ème fois.

Note :6.20



CHEF de Jon Favreau avec Lui même, Dustin Hoffman, Sofia Vergara, John Leguizamo, Scarlett Johansson et si vous allez pas aux toilettes Robert Downey Jr.

Chef qu'on a vu au Festival de Deauville, est le type de film qu'on considère comme bien sympathique,comme son réalisateur, véritable zébulon, malgré son léger embonpoint !!! mais qui a l'arrivée nous laisse sans aucun souvenirs vénérables.

"L'histoire de Carl Casper, chef cuisinier de renom de Los Angelès, qui après avoir péter les plombs à son travail auprès d'un critique gastronomique,scène relayée par tous les sites de réseaux sociaux, se fait virer par son patron (Dustin Hoffmann), Riva. Pour remonter la pente et redorer son blason,il se laisse séduire par l'idée se son ex-femme, Inez et se lance dans l'aventure de la restauration de rues. Il va être aidé par Martin, son ancien sous chef, et de son fils Percy, avec qui il va tenter de renouer les liens."

Le film est plein de bons sentiments (même un peu trop),comme si on avait rajouter plus d'épices pour faire plus vrai. Je suis persuadé que le tournage a donner plus de plaisir à ses protagonistes,qu'à l'arrivée nous pauvres spectateurs, qui ne font que regarder ce qu'il y a à l'écran,mais  ne profite ni des odeurs ni des goûts des plats concoctés.

A l'arrivée, le film bon enfant (quand même meilleur que Les recettes du Bonheur) ,nous laisse un peu indifférent, pour un réalisateur qui a quand même fait Iron Man, et donc sait ce que c'est la mise en scène.

Note : 12.50


La légende de Manolo est un film d'animation de Jorge R.Gutteriez superviser par le Génial Guillermo Del Toro. Dans les voix originales on pourra reconnaître Zoé Saldana, Channing Tatum, Diego Luna, Hector Elizondo, Danny Trejo, Ice Cube, Ron Perlman, Christina Applegate donc un générique de voix de grande qualité, qui prouve le plaisir on les acteurs de prêter leur voix à ce type de projet.

On reconnaît bien dans ce film , la patte de Del Toro, son univers, sa folie , ce qui donne un film plein de charme, avec une belle histoire d'amour, des combats épiques, et surtout une animation colorée mélange de fantastique et d'imaginaires.

Un des meilleurs films d'animations de l'année.

L'histoire existe depuis des milliers d'années, au Mexique, les esprits passent d'un monde à l'autre durant le Jour des morts ....

Manolo est un jeune garçon rêveur qui vit dans un village de San Angel. Il est installé entre les attentes de sa famille et celles de son coeur, qui bat pour la belle Maria. Manolo est alors mis au défi par les dieux. pour conquérir Maria,il devra affronter ses plus grandes peurs.

Un film à voir le 2 Novembre jour où on fête les morts.

Note : 15.20





Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire