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dimanche 21 septembre 2014

96 HEURES DE FREDERIC SCHOENDERFER


On commence par 96 heures de Frédéric Schoenderfer, avec Gérard Lanvin, Nils Arestrup, Laura laura laura laura laura Smet, Sylvie Testud et Anne Consigny.
Déjà on est volés on nous parle de 96 heures, mais le film ne dure que 96 minutes.
Le film parle d'une garde à vue à l'envers, vu qu'aujourd'hui il est difficile de faire une garde à vue aux Quai des Orfèvres, celle-ci aura lieue dans un lieu discret isolé mais à 800 mètres d'une autre maison (Sic).
Personnellement je trouve le film mauvais, pas très mauvais, mais mauvais, car le film est d'une lourdeur dans le scénario absolue.
- Deux acteurs, la racaille de l'est (c'est la mode) et le voisin qui dont un niveau d'acteur désastreux, Lanvin n'est pas en reste.
- La cassage du mobile, avec on insiste pourquoi tu l'as cassé, on a bien compris à ce moment là que tout est dans ce téléphone.
- La fille du bandit, pas dans la villa, et qui apparaît comme par miracle, donc elle à faire dans cette histoire.
- Ces plans serrés qui nous permet de voir que Lanvin à des dents blanches immaculés.
- L'extraction de la prison (en réalité une évasion) too much, pourquoi les bandits n'y ont pas pensés plus tôt dans la réalité.
- La maison du voisin située à 800 mètres, mais Testud prend sa voiture on ne montrant pas sa carte de police.
Et j'en oublie encore.
A l'arrivée Arestrup est bon, Laura est belle comme tout, et Lanvin à peut de dialogues, car en 96 heures il a le temps de dire des conneries sur le cinéma français, même s'il est vrai il a joué dans des chefs-d'oeuvres (Camping). Intéressant avec lui la promo d'un film casser en 2, à l'arrivée 16000 entrées au 1er jour France.

Note : 11.00 (j'étais tenté de mettre 9.60)

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