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mercredi 27 janvier 2021

FILMS ANCIENS : ATLANTIQUE LATITUDE 41) DE ROY WARD BAKER (1958)


Vu le film Atlantique, latitude 41° de Roy Ward Baker (1958) avec Kenneth Moore, Honor Blackman, David McCallum, Michael Goodlife, Ronald Allen, Robert Ayres, Kenneth Griffith, Richard Leech

 

Le 10 avril 1912, le transatlantique britannique Titanic, quitte Southampton pour une traversée inaugurale à destination de New York. Le 14 avril, vers 23h40, la vigie signale un iceberg droit devant. Malgré le changement de cap immédiat, l'énorme masse de glace éventre la coque sur une longueur de 100 mètres. Après avoir rapidement évalué les dégâts, les ingénieurs rendent leur verdict sans appel : le Titanic est condamné à couler dans les délais les plus courts.

 

Tiens-je me dit que le scénario me dit quelque chose, ne serait-ce pas un remake d’un film de 1997, mais non finalement il n’y a pas de Rose, de Jack et de planche, donc cela doit être du hasard.

Fini de rigoler, une vision inconnue de ma part de ce désastre qui a eu lieu le 14 Avril 1912, dans la nuit glacée de l’océan Atlantique Nord.

 

Pas de surprise, le film est conforme à ce qu’on connaissait et qu’on voit d’ailleurs dans Titanic de Cameron, le sacrifice de certains, beaucoup d’hommes d’ailleurs, du Capitaine, à l’orchestre ou de couples qui ne voulaient pas se séparer ; tout y est, c’est vraiment bien fait, les effets spéciaux pour l’époque je les trouve très crédible sans fioriture, et sans effet spectaculaire pour faire genre.

 

Alors oui moins spectaculaire que le film de Cameron, car on fait ici plus place à l’humain et les catastrophes personnelles de chacun qu’ont vécus ses hommes et ses femmes, manque l’idée de génie qu’a eu Cameron on y incorporant une romance qui se finira mal, comme les majorités des couples.

On pourra essayer de comparer ici où là que certaines scènes ont été reprises par Cameron avec des moyens différents, mais ici on est subjugué par l’histoire quelque soit l’époque est tous aussi spectaculaire.

Sans être vampirisé par le film de Cameron, on apprendra plus ici sur les erreurs de la compagnie, et on sort un peu du bateau, avec l’arrivée des voyageurs et une messe sur le bateau qui récupéra une partie des rescapés.

 

J’ai bien aimé ce film avec son suspens total malgré tout ce qu’on en sait aujourd’hui, étant donné que ce film avait été fait avant d’avoir découvert l’épave du Titanic. A noter que le producteur William MacQuity avait assisté enfant au départ du Titanic (en tous cas ce que dit la légende).

 

J’aimerais avoir un jour une série ou un film sur le destin assez incroyable des survivants ou de ceux qui n’ont pas pris le départ pour une raison ou une autre. Mais cela c’est une autre histoire.

FILMOGRAPHIE


DISTRIBUTION

Personnages de fiction tirés du roman original 

à

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