Synopsis : En 1915, dans les derniers jours de l'Empire ottoman, un étudiant en médecine arménien, fiancé à une jeune femme de son village, fait la rencontre d'un journaliste américain et de son amie et tombe éperdument amoureux de cette dernière. Ils essayent tous trois de survivre au génocide arménien.
Il a fallu un an que ce film présenté au Fsetival de Toronto en 2016 arrive en France, en tous cas dans un premier temps en Avant-première au Festival du Film Américain de Deauville, mais pas sur qu'il aura la droit à une sortie en salles, vu la qualité du film, en tous cela facilitera par la présence dans le jury du Festival de Charlotte Le Bon qui a le rôle principal féminin.
Le film n'a quand même rapporté que 8 millions de Dollars ce quoi augurait rien de bon.
Et on se trompe, déjà avec une affiche trouvé dans aux Puces tellement elle est laide, et qui donne pas vraiment pas envie, le film parle du génocide arménien décidé par le gouvernement Ottoman de l'époque (on ai pendant la période de la première guerre mondiale) ,génocide qui n'a jamais été reconnu pat les autorités turques en un siècle. , ce qui peut donner une vision de l'histoire peut connu du monde occidentale, mais voilà on est dans un film américain , et voilà qu'on nous donne de la romance à deux balles sur fond d'adultère.
C'est pas ce film qui va entrer dans l'histoire pour parler du génocide , on préférera regarder América, América d'Elia Kazan, Ararat d'Atom Egoyan , Le Voyage en Arménie de Robert Guéguidian, et The Cut de Fatih Akin
L’œuvre est clairement militante. Elle résulte de la volonté de feu l’homme d’affaires d’origine arménienne Kirk Kerkorian, un ancien propriétaire du studio de la Metro-Goldwyn-Mayer, qui voulait porter à l’écran le génocide des Arméniens à la manière d’une grande fresque historique. Il a intégralement financé “The Promise” qui, avec un budget de plus 100 millions de dollars, est l’un des films indépendants les plus chers de l’histoire d’Hollywood.
Pas certain de faire autant de courbettes pour parler d'un sujet aussi sensible était de bon goût et n'est pas Spielberg qui veut, pourtant avec Hôtel Rwanda le réalisateur Terry George avait réussi beaucoup plus simplement à parlé du génocide Rwandais avec plus de force qu'ici.
Le film a fait polémique en States avec des milliers de critiques négatives avant même qu'il sorte en salles, non pas par la qualité du film (ce qui reste aussi à démontrer) mais par le sujet et qui confirme un peu la fin du film, ou la parole des arméniens est pratiquement muette depuis un siècle.
C'est assez mal filmé, comme un film de second zone d'aventure qu'on avait dans les années 70, et les acteurs Oscar Isaac, Christian Bale ne peuvent pas faire grand chose pour échapper au naufrage, sans compter nos frenchies Charlotte le Bon et Jean Reno qui n'amène même pas le french-flair. C'est triste de voir un film aussi pauvre techniquement pour parlez d'un sujet aussi sensible.
Pas sur à l'arrivée, pour différente raison qu'il aura le rayonnement indispensable à son sujet.
NOTE : 7.30
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Terry George
Scénario : Robin Swircord et Terry George
Musique : Gabriel Yared
Production ; Mike Medavoy, Williams Horberg, Eric Esraillian, Edward MCgurn
Costumes : Pierre Yves Gayraud
Casting : John Hubbard et Ros Hubbard
Décors : Benjamin Hernandez
Montage ; Steven Rosenblum
Photographie ; Javier Aguiiresarobe
DISTRIBUTION
Admiral FournetJean Reno
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