Synopsis : Il en rêvait depuis La Grande Aventure Lego : Batman est enfin le héros de son propre film ! Mais la situation a bien changé à Gotham – et s'il veut sauver la ville des griffes du Joker, il lui faudra arrêter de jouer au justicier masqué et découvrir le travail d'équipe ! Peut-être pourra-t-il alors se décoincer un peu…
Dans ce Lego Batman, il y a beaucoup de référence avec les autres films du super-héros , comme évidement la série des années 60, dont on voit un extrait à la télévision et surtout en reprenant les Bim, Bam, Boum de cette série kitch. un clin d'oeil aussi au film Superman vs Batman ou ce dernier comme son pire ennemi Superman, qui ici fait pleurer le Joker qui aurait aimé être définitivement lui son pire ennemi, comme quoi la vie de méchant n'est pas un long fleuve tranquille.
Lego fait aussi référence avec délectation au film de 2016, 2012, 2008, 2005, 1997, 1995, 1992, 1989 et de celui bizarre de 1966 dans la bouche d'Alfred.
Cela délire totale pendant toute la durée ou cela court partout dans tous les coins de l'écran, on s'imagine presque qu'ils court tous dans la salle entre les fauteuils pour éviter les explosions de vannes ou couchés pour éviter les punch-lines de Mr Batman.
On a le droit à un Joker caricatural à souhait, fourbe et bouffon plus dans le style Jack Nicholson que Jared Leto, Robin avec son slip vert a du mal à choisir entre l'amour qu'il a pour son père adoptif et les armes modernes de papa, beaucoup d'allusion stylisée sur la relation ambigu de Batman et Robin cher au film de Joel Schumacher.
Dans le film on retrouve l'univers de tous les comics de DC bien sur mais aussi de Marvel, mais on y voit aussi des King Kong ou Godzilla, avec des Lego on peut tout faire et tout imaginer, c'est l'avantage du produit.
J'ai beaucoup aimé toutes les références plus ou moins soient amusantes pour les gamins, soient bien cyniques sur le rôle d'un super héros solitaires et qui n'a comme unique occupation de sauver le monde ou de vérifier qu'Alfred a bien fait le ménage dans son loft sur 10 étages sur 2000 m2 au moins que tentera de vendre Stéphane Plazza en slip comme Robin.
Le film est autant un hommage qu'une caricature très drôle de la vie de nos super héros qui n'est pas simple tous les jours.
La version française est limite faite par de noms professionnels du genre, mais même pas comédien, mais la passe entre Superman (Griezman) et Flash (Matuidi) finira dans la lucarne.
NOTE : 15.80
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Chris McCay
Scénario ; Seth Grahame-Smith, Chris McKenna et Erik Sommers
D'après les personnages de : Bob Kane et Bill Finger
Musique Lorne Balfe
Production : Roy Lee, Dan Lin, Phil Lord, Christopher Miller
Montage : David Burrows, er John Venzon
Casting : Mary Hidalgo
Son ; Wayne Pashley
DISTRIBUTION
VOIX ORIGINALE
VOIX FRANÇAISE
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