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lundi 5 septembre 2016

FESTIVAL AMERICAIN DE DEAUVILLE : CHRONIQUE JOUR 3 : TAPIS OR NOT TAPIS

Mon troisième jour au Festival Américain de Deauville.

Mon début de journée avant de sortir aurait du me mettre la puce à l'oreille, au réveil surprise je ne vois pas la mouche qui me casse les bonbons depuis jeudi, cherchant à se poser où cela me gratte, et là son absence me surprend, enfin me dis je, je bois mon café, et que vois je derrière la vitre au dehors, ma mouche collée sur son dernier rempart, je la vois triste et désespérée. "Que se passe-t-il" lui demande (oui je parle aux mouches ne suis je pas la majesté des mouches) , elle me répond je suis triste je pensais voir Jeff Goldblum sur le tapis rouge et il ne viendra pas, je cois que je vais repartir pour retrouver mon mec "Dumbo".

Ce n'était que le début du début du vide , fait de matière invisible (les acteurs en promo, les journalistes, les spectateurs et les peoples profitant d'un cocktail gratuit au Normandy avec 3 cacahuètes et deux chips (récession oblige), pas le néant, car celui-ci n'existe pas , mais le vide avec un peu d'énergie, ou des corps bougent ici où là, quelques particule et anti-particules comment veut-tu, ou de champs magnétiques qui empêchent quelque part au abord de Deauville, à la moindre étincelle de présence à se manifester.

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Comme dans X Files, The Thing ou Aliens nous ne sommes pas seuls dans l'espace, dans l'espace oui le grand univers avec ces étoiles dans le ciel, car les étoiles sur le tapis rouge elles sont aussi absentes que le nombre de neurones de certains youtubeurs.

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Je commence ma route vers le Port nawack, et paf une mouette sur le retour , qui avait connue il y a deux ans des spectateurs accueillant de ses saillies matinales, se jeter sur la vitre d'une Banque par désespoir cherchant désespérément une épaule ou une perruque pour se lâcher.

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Pas fini, à 11 heures , un Teckel s'attaqua d'un seul coup à un groupe de militaires armées jusqu'au dent, à l'affût, mais se laissant surprend par un hot-dog vivant, bon devant un ennemi d'état, il a été abattu de 50 balles pour rébellion.

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La preuve que rien ne se déroulait comme prévu, les dernières stars encore présentes se sont jetées sur moi pour prendre une photo, on dirait un roms qui demandait une pièce, "s'y ou plait une photo".

Une araignée commençait à stresser aux abord du Royal, Harry Osborn allait bientôt venir dans la soirée et elle s'avait d'avance qu'il irait pas de faire une toile dans la journée.

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Heureusement dans cette journée une pléiade ................... de réalisateur américain se sont présentés sur la Tapis rouge du soir pour le nouveau de Michael Moore, aucun réalisateur français présent pourtant dans les jurés, ou squattant la ville depuis 50 ans n'ont foulés ce petit espace, au même rythme d'ailleurs que les spectateurs très peu présents dans toutes les projections, il faut dire 35 € une journée (2 mois de carte illimitée) ou 160 € la semaine (8 mois de carte) sont des prix aujourd'hui que le spectateur ne peut plus mettre, cela devient difficile, et qu'en plus aucune vedette accompagne la projection ou de people comme Jean Roucas ou Karl Zéro qui tourne autour du CID, cela devient un gros problème.

En fin de soirée, je pris la route le long de la plage, avec un corbeau qui m'expliqua qu'il retournait après une fugue auprès de Alfred Hitchcok.

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On espère aujourd'hui que James sera Franco avec nous, et nous gratifiera d'un sourire, on en demande pas plus .............

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Antoine de Caunes

Me and Stanley Tucci

Me and Eric Elmosino

Me and Ana Girardot

Me and Françoise Arnoul

Me and David McKenzie




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