La carrière du compositeur italien Ennio Morricone , qui le 26 février 2016 a reçu une étoile sur le Hollywood Walk of Fame , a quelques - uns - le cas échéant - des parallèles dans l'histoire de la musique de film.
Le compositeur pour "Le Bon, la Brute et le Truand", "La Mission", "The Untouchables", "Cinema Paradiso" et environ 375 autres longs métrages (pour ne pas mentionner un autre 90 ou si les projets de télévision) est peut-être le plus prolifique dans le cinéma occidental.
Il est également parmi les plus respectés. Les cinéastes de Terrence Malick à John Boorman, Mike Nichols à Barry Levinson , Roman Polanski à Bernardo Bertolucci, Roland Joffe à Brian De Palma, lui ont cherché à contribuer à leurs films.
Arrivé à son domicile à Rome, il dit par l'intermédiaire d'un interprète, que la réception de l'étoile est «une grande récompense», ajoutant: «Je ne peux anticiper comment je vais me sentir quand je suis là à Los Angeles"
Il est juste le dernier honneur pour le 87-year-old maestro. En 2007, il a reçu un Oscar d'honneur pour l'ensemble de son travail. Il est nommé à nouveau cette année (son sixième fois) pour sa musique dans Quentin Tarantino " Le Hateful Huit ."
"Si vous regardez les Sergio Leone Westerns, ce fut une toute nouvelle façon de traiter avec le drame», dit Hans Zimmer de la trilogie du réalisateur italien de films Clint Eastwood en commençant par de 1964 "Fistful of Dollars". "Un grand compositeur peut littéralement être intemporelle avec les appareils qu'ils utilisent. "Ces dispositifs inclus lamentation harmonica, sauvages éclats de guitare électrique et voix en plein essor. "Tout le monde avec moins de courage et de moins d'imagination que ne l'ont fait», ajoute Zimmer. «Pour moi, il est singulièrement le compositeur le plus gratifiant."
Morricone dit qu'il a trouvé travailler avec Leone «très enrichissante», bien que, il ajoute: «Je ne savais pas en fait je rapportais d'une sorte de révolution musicale dans le genre de l'Ouest."
Son thème follement original pour "Le Bon, la Brute et le Truand", basé sur un hurlement de coyote et a joué sur un ocarina, est devenu un record de succès, l'envoi de la bande son de Morricone au n ° 4 sur les charts pop en 1968. Mais commissions pour ses scores en Amérique n'a pas eu lieu jusqu'à la fin des années 70 / début des années 80, lorsque des films tels que "Days of Heaven" et "The Island" ont commencé à apparaître sur son CV.
En Europe, cependant, il était un phénomène, parfois marquant plus de 20 films par an. Aujourd'hui, il admet, il a pris toutes les missions proposées. "Maintenant, il est différent," dit-il. «Je suis un peu plus sélectif."
Pourtant, il n'a jamais muées hors toute cession. Même B images d'action comme "Guns pour San Sebastian» et «Cinq hommes armés," à la fois des fin des années 60, le sport thèmes glorieux qui sied bien meilleurs films. Ses thrillers virent dans l'avant-garde. Même les bombes infâmes, tels que "Exorcist II: The Heretic" et "Mission to Mars," ont été inévitablement soutenus par la musique Morricone.
"Il est vraiment un génie», explique le directeur Levinson, qui a engagé Morricone pour "Bugsy" et "divulgation" au début des années 1990. Visite du maestro à Rome à l'époque, il découvrit bientôt qu'il n'y avait pas de piano dans sa chambre d'écriture et a été stupéfait d'apprendre que, lors de la conception d'une partition, «il ne suffit pas entendre la mélodie, il l'entend avec 74 musiciens sa tête."
En effet, Morricone est non seulement une formation classique ayant étudié au célèbre Conservatoire Santa Cecilia, mais il a également travaillé tout au long des années 1950 comme un arrangeur et orchestrateur pour la radio, la télévision, les dossiers et le théâtre. Il attribue toutes ces expériences pour sa polyvalence et sa sensibilité innovante.
Et il est fier de orchestrant personnellement chaque note, ce qui crée le son très spécifique de chaque partition. Voilà pourquoi, Levinson ajoute, «il y a une signature à tant de son travail."
chef-d'œuvre de Morricone, beaucoup disent, est «La Mission» de 1986, qui tourne autour de jésuites du 18ème siècle en Amérique du Sud. L'histoire a exigé une approche chorale et orchestrale qui a reconnu période la musique liturgique, flûtes indigènes et des chants, et des solos de hautbois pour correspondre à ce que le caractère de prêtre Jeremy Irons faisait semblant de jouer.
Joffe se souvient projection du film pour le compositeur, puis d'être tourné vers le bas. "Il était en larmes. Il dit: «Vous n'avez pas besoin de la musique pour ce film, il est trop beau." Pourtant, quatre jours plus tard, Morricone téléphoné avec une idée pour un thème. Aujourd'hui, dans ses concerts, il joue des suites étendues de "The Mission".
"Il est une personne magique», dit Joffe, qui employait Morricone sur trois autres films, y compris "City of Joy.» «Quand Ennio est en forme, il a une façon précise et claire de se rendre au cœur de quelque chose dans un totalement inattendu façon."
Warren Beatty , qui a travaillé en étroite collaboration avec Morricone sur "Love Affair" de 1994 et de 1998 »Bulworth," met simplement: «Il n'y a pas compositeur vivant mieux que Ennio."
Au cours des dernières années, Giuseppe Tornatore a réussi Leone en tant que directeur favori de Morricone. Ils ont collaboré à une dizaine de films ensemble depuis "Cinema Paradiso", et ils sont si proches Morricone écrit souvent les principaux thèmes avant même que le film est tourné.
Le maestro partage maintenant son temps entre les films, des concerts et en écrivant ce qu'il appelle la «musique absolue» (musique pour la salle de concert). Est-ce qu'il regrette passé tant de temps sur des films au cours des 55 dernières années?
«Je dois, une vie enrichissante très satisfaisant, en tant qu'homme et artiste," dit-il. "En dépit de près de 500 partitions pour le cinéma et la télévision, je l'ai aussi trouvé le temps de composer autour de 100 morceaux de musique absolue. Donc, je suis satisfait et fier de ce que je l'ai écrit. "
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